shiararussi prêt à réaliser vos fantasmes les plus excitants pendant que je culmine dans le plaisir Je suis complaisant mais ne vous y trompez pas je peux aussi vous soumettre pour mon plaisir
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Je découvre mes paupières et mes joues, aux baisers Le coin vous attend : entrouvert Le cou relevé pour être approché ; à travers tes lèvres Lentement, il passe sur mes épaules, découvert Et maintenant que j’ouvre les yeux, regarde-moi et nous parlerons
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Ton corps nu sur ce coffre avec tant d'épines, qui frottent ta peau propre et morbide, déchirent tes seins fermes et laissent la marque de pleurs, tes lèvres rouges scrupuleuses, tes yeux pleins de folie et de perdition, ton ventre molle qui déclare ton indépendance comme femme, comme fleur, comme vie, comme oiseau. Femme écrite et décrite sur un lit à part, lui la lune fuchsia, sur un rocher violet. Femme de forme parfaite, fatiguée de la rosée qui jaillit de ton front et de ta poitrine. Femme d'esprit doux et sanglant comme l'innocence des pensées sculptées de tes pieds, ceux qui ont arrêté leur passage sur ce sol qui ne se condensera plus jamais.
Quand le désir m'envahit, je pense à toi, et je me demande ce que je ferais à toi à ce moment-là... Tu n'as pas la moindre idée de tout ce que je pense de toi et alors le désir grandit de plus en plus en moi.. Ma salive habillera ta peau nue ; Mes mains dessineront comme un Da ́Vinci ton corps dessinant pas à pas avec le bout de mes doigts et plus tard avec ma langue humide ; Mes hanches danseront dans leur fête privée avec la vôtre et un seul gémissement sortira de votre gorge et de la mienne.. Et le désir continue à grandir, maintenant ta peau comme un manteau couvrira la mienne et à nouveau ta langue sera la poignée de mon corps chaud et nous arriverons à nouveau au jardin du désir.. Et cette fois, notre gémissement va secouer la terre et réveiller l'instinct le plus primitif des voisins... C'est ainsi que je te désire; tu n'as pas la moindre idée de tout ce qui passe par mon esprit quand le désir pour toi grandit en moi.
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Viens naviguer dans mon corps nu, avec tes mains ardentes de passion découvre ma sensibilité et noie-toi dans mes fleuves d'angoisse.
Parcourez chaque partie de mon corps, qui désire vous trembler et se livrer que votre excitation me fait évanouir.
Embrasse-moi doucement, fais-moi ressurgir, entoure ma taille, embrasse-moi avec folie, fais-moi délirer, enroule-toi dans mes cheveux bouclés et ne me laisse jamais échapper..
Regarde-moi dans les yeux pendant que tes mains continuent à traverser mon corps trouve mes ténèbres et naviguent dans celles-ci sans soucis.
Laisse-moi sentir ta fermeté qui provoque des soupirs et des soupirs sans frein ni espoir.
Aime-moi ce soir, mon amour, j'ai besoin de toi aujourd'hui pour te sentir à l'intérieur de moi et profiter de notre vie comme chaque nuit devient celle-ci. Notre rencontre tant attendue.
Je suis avare de ton corps, ta peau douce glissant sur la mienne. Tu piel: Carte mémorisée dans le sel Avidité que la langue palpite sur mon rebord pompant la jambe à l’intérieur: rituel-éveil de nos instincts, salive partagée, effluves à l’unisson Avidité ta simple nudité, la décadence des respirations, nos regards perdus qui sont recherchés, ton cou ouvert à moi, la fragilité de cette ascension momentanée qui nous déplace vers le corps de l’autre où nous mourons, Encore une fois, dans la vie, où nous vivons pendant un moment, dans la mort
Corps de femme, collines blanches, cuisses blanches, vous ressemblez au monde dans votre attitude de délivrance.
Mon corps de laboureur sauvage te piétine et fait sauter le fils du fond de la terre. Je suis allé seul comme un tunnel. Les oiseaux m'ont fui et la nuit est entrée dans mon sein..
Pour ma survie, je t'ai forgé comme une arme, comme une flèche dans mon arc, comme une pierre dans ma cuirasse. Mais le temps de la vengeance est venu, et je t'aime.
Corps de peau, de mousse, de lait, avide et ferme. Ah les coupeurs de poitrine! Ah les yeux de l'absence! Ah, les roses du pubis! Ah ta voix lente et triste! Corps de ma femme, je persisterai dans ta grâce.
Ma soif, mon désir sans limite, mon chemin incertain! Des ruisseaux sombres où la soif éternelle continue, et la fatigue continue, et la douleur infinie.
Sur la nudité ardente, le tulle de la sensualité glisse avec vivacité ; revêtue de l’air, en liberté, si douée d’ailes légères. Des mamelons raides, comme des balles sur le point d’être tirées ; Une volonté créatrice d’une complicité qui vous donne plus vous donnez. Une attitude réceptive et réceptive, qui dans chaque cavité sirote et dévore, et l’inflexible dans la douceur serre. Parenthèse de cuisses entr’ouvertes, enfermant fermement mes greffes, comme ta voix entre les sourires gémit 🤭
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Si tu peux deviner ce que je pense, je te le donne sur les lèvres. 💋
La seule façon de faire du bon travail est d'aimer ce que vous faites. Si vous ne l'avez pas encore trouvé, continuez à chercher. Comme pour tout ce qui touche au cœur, tu le sauras quand tu l'auras trouvé.
Le succès, c'est faire de notre mieux avec ce que nous avons. Le succès est dans le faire, pas dans l'obtenir; dans l'essayer, pas dans le réussir. Le succès est un standard personnel, atteindre le plus haut qui est en nous, devenir tout ce que nous pouvons être
Et vous voyez, je cherchais une étoile et j'ai trouvé une galaxie
Les moins chers de mes vacances
Dans une bonne vacances, vous n'avez rien à faire et vous avez toute la journée pour le faire. 😉😎
Les gens qui lisent en vacances ont toujours plus de plaisir parce que c'est une évasion totale, physique et mentale. ✨🌊
Ne laisse pas la journée s'écouler sans avoir grandi un peu, sans avoir été heureux, sans avoir augmenté tes rêves..
Ne te laisse pas vaincre par le découragement.
Ne laissez personne vous priver de votre droit d'expression, qui est presque un devoir..
Ne renoncez pas à l'envie de faire de votre vie quelque chose d'extraordinaire. Ne cessez pas de croire que les mots et la poésie peuvent changer le monde..
Quoi qu'il arrive, notre essence est intacte. Nous sommes des êtres pleins de passion.
La vie est un désert et une oasis.
Il nous renverse, nous blesse, nous enseigne, nous fait devenir les protagonistes de notre propre histoire..
Même si le vent souffle contre, l'œuvre puissante continue:.
Ne cesse jamais de rêver, car dans les rêves l'homme est libre..
No caigas en el peor de los errores: Le silence.
La plupart vivent dans un silence horrible. Ne te laisse pas aller..
Elle s'enfuit..
“Je fais retentir mes cris sur les toits de ce monde, dit le poète.
Apprécie la beauté des choses simples.
On peut faire de la belle poésie sur de petites choses, mais on ne peut pas ramer contre soi-même..
Ça rend la vie un enfer..
Profitez de la panique que vous provoque avoir votre vie devant vous.
Vivez-la intensément, sans médiocrité.
Pensez que l'avenir est en vous et faites face à la tâche avec fierté et sans peur. Apprends de ceux qui peuvent t'enseigner.
Les expériences de ceux qui nous ont précédés de nos poètes morts, vous aident à marcher dans la vie La société d'aujourd'hui, c'est nous: les poètes vivants”.
Ne laisse pas la vie t'échapper sans que tu la vives
J'arrive à la plus belle période de l'année, le temps de partager ❤ Venez me souhaiter une joyeuse fête de Noël
Être heureux, c'est non seulement valoriser le sourire, mais aussi réfléchir à la tristesse..
Il ne s'agit pas seulement de célébrer le succès, mais d'apprendre des leçons des échecs. Ce n'est pas seulement de se réjouir des applaudissements, mais de se réjouir de l'anonymat..
Être heureux, c'est reconnaître que la vie vaut la peine d'être vécue, malgré tous les défis, les incompréhensions et les périodes de crise..
Être heureux n'est pas une fatalité du destin, mais une conquête pour celui qui sait voyager à l'intérieur de son propre être..
Être heureux, c’est cesser d’être victime de problèmes et devenir acteur de sa propre histoire.
Tu me veux de l'aube, tu me veux de la mousse, tu me veux de la nacre.
Que ce soit plutôt croquante, pure. D'une teneur en eau de source inférieure à 30 °C.
Le couloir est fermé. Je n'ai pas un rayon de lune qui me soit passé. Même une margarite ne dit pas ma sœur.
Tu me veux neige, tu me veux blanc, tu me veux aube.
Toi qui as bu toutes les tasses à la main, de fruits et de miel les lèvres pourpre.
Toi qui, au banquet couvert de lampes, as laissé les viandes pour faire la fête à Bacchus..
Toi qui dans les noirs jardins de la tromperie habillé de rouge courais au ravage.
Toi qui conserves le squelette intact je ne sais pas encore par quels miracles, tu me prétends blanc (Dieu te pardonne), tu me prétends chaste (Dieu te pardonne), tu me prétends aube! Fuis vers les forêts, va à la montagne, nettoie ta bouche, habite dans les cabanes, touche de tes mains la terre humide, nourrit ton corps de racine amère, bois des rochers, dors sur la rosée, renouvelle tes tissus avec du sel et de l'eau, parle aux oiseaux et lève-toi à l'aube..
Et quand les viandes te seront revenues, et que tu auras mis en elles l'âme qui s'était enlisée dans les alvéoles, alors, bon homme, prétends-moi blanc, prétends-moi nivea, prétends-moi chaste.
Dans les coins cachés de la passion, le feu de l'érotisme sans raison s'allume. Enchaînés dans une étreinte intime et passionnée, les corps se livrent sans vergogne ni péché.
Le toucher doux de tes mains qui traverse ma peau éveille chaque fibre, chaque désir rapide et fidèle. Le murmure de tes lèvres, qui me chuchote à l'oreille, allume la flamme, allume le désir caché..
Les regards complice, pleins de luxure et de convoitise, se retrouvent dans un jeu de séduction et de parfum. Le frottement de nos bouches, une danse sublime, où les langues dansent et les instincts se flétrissent.
L'érotisme se déploie comme un ventilateur de plaisir, explorant chaque centimètre de peau avec avidité et pouvoir. Les caresses deviennent de l'art, traçant des chemins interdits, enchevêtrés dans un va-et-vient de soupirs et de gémissements..
Les draps deviennent des témoins silencieux des mouvements effrénés et effrénés. La sueur se répand comme une rosée de passion, tandis que nos corps dansent en parfaite communion..
Le désir s'élève dans une symphonie inégalée, où les cœurs battent à un rythme inébranlable. L'odeur de l'extase imprègne l'ambiance, alors que nous nous livrons sans limites, sans arrêt.
Et au milieu de cette extase effrénée et effrénée, nous découvrons la pureté de l'érotisme, de l'authenticité. L'érotisme, c'est se découvrir en pleine peau, à chaque caresse, à chaque gémissement, à chaque rencontre..
C'est la rencontre d'âmes assoiffées de flamme, dans une danse érotique pleine de splendeur. C'est le lien profond, l'étreinte lascive, qui nous élève dans un cosmos parallèle et lascif..
Dans le jeu du désir, le temps s'évanouit, et il n'y a que du plaisir à chaque battement qui grandit. L'érotisme se revêt de la sensualité de la nuit, déchaînant des passions qui brûlent comme un gaspillage.
Ainsi, dans cette étreinte interdite et clandestine, nous nous plongeons dans un monde plein de folie. L'érotisme nous enveloppe et nous fait vibrer, à chaque soupir, à chaque regard, à chaque amour..
Mettez-moi du bonbon dans votre bouche Je veux être doux coton-tige.
Alors, n'hésite pas à me prendre sur tes lèvres, à me creuser les dents, à me fondre dans ta langue et à me mélanger à ta salive car je désire adoucir chaque papillon de tes goûts..
Testez-moi de douceur et avec avidité vous me mangez, me consommez, me dévorez, comme si j'étais le fruit défendu, la pomme du péché.
Et enfin, bébé, douceur, à des gorgées lentes comme de l'eau fraîche d'été et laisse-moi couler entre tes seins jusqu'à ce que tu sois trempé..
Sois ivre de moi sans crainte de rien, je veux être l'aguamél de ta poésie, pour ta bouche amère savoureuse ambrosia.
J’avide ton corps, ta peau douce glissant sur la mienne. Ta peau : carte mémorisée dans le sel Avidité que la langue palpite sur mon rebord pompant la jambe à l’intérieur : rituel-éveil de nos instincts, salive partagée, effluves à l’unisson Avidité ta nudité simple, la décadence des respirations, nos regards perdus qui sont recherchés, ton cou ouvert à moi, la fragilité de cette ascension momentanée qui nous déplace vers le corps de l’autre où nous mourons, Encore une fois, dans la vie, où nous vivons pendant un moment, dans la mort}
Le rêve comme un oiseau grandissait de lumière en lumière effaçant le regard; calme et par les anges portés, la neige entre les ailes descendait. Le ciel dépouillait sa joie, regarde la lumière l'enfant, enraciné, avec le sang timide déchaîné du cœur, la Vierge souriait. Quand les bergers voient leur bonheur, c'était déjà une toile le vol innombrable sur la tortue du taureau endormi; et ils ont perdu leurs yeux la beauté, ressentir, entre le vrai et l'ineffable, la lumière du cœur immobile.
Se sentir digne d’être aimé. Amour. Ayez une étoile. Levez votre verre vers l’extérieur. Réjouissez votre cœur en regardant à l’intérieur. Croyez aux hommes tous les jours. Regardez ce qui s’en vient avec un œil d’espoir et une main ferme. Ne mentez pas à l’oreiller ; c’est-à-dire de ne pas se mentir à soi-même. Ne pleurez pas pour un soleil qui n’apparaît pas. Riez pour une étoile. Battez-vous à l’intérieur et à l’extérieur. Pour enivrer l’âme avec les autres. Ayez un sapin de Noël de la nuque jusqu’aux pieds.
Noël m'inspire, c'est cet esprit magique que je trouve à chaque coin de rue qui me fait penser à toi. Je vois déjà ton cadeau cette année plus que jamais une promesse d'amour sincère cette Noël plus que jamais le simple va plus loin le simple ne t'attends pas mon cadeau, mon amour: un poème.
Dépouille mes paupières et mes joues, en m'embrassant, le coin t'attend: entrecoupé, le cou levé pour être abordé, par tes lèvres, lentement, il parcourt mes épaules, découvertes, et maintenant que j'ouvre les yeux, regarde-moi et nous parlerons.
Au bord de votre lit, au bord de votre instinct, au bord de l'impensable. Tu regardes la lune derrière les vitres, ton esprit tire sur le vide. Un bruit sur ma peau et je me présente. Au bord du désir.
Je couvre le fruit de mon appétit avec des draps de lit; caché la morbidité dans votre sourire, dessinant le brouillard rose de vos yeux. Réfléchi ainsi dans mes yeux je te contemple; un bruit sur ma peau et mes mains respirant sur ton lit.
Mes lèvres tombent dans l'abîme, elles atteignent leur première destination dorée, elles se promènent sur ton large front, elles glissent sur ton visage charmant, elles conquièrent tes joues inquiètes, un bruit sur ma peau et le maître de tes lèvres, c'est moi..
La nuit de demi-lune, un soupir indiscret s’éteint après l’autre, mes baisers ferment tes yeux et chantent l’agonie de ton corps nu. mes yeux ravissent mon imagination ; Un grondement sur ma peau et mon corps qui te murmure la débauche.
Particule la chaleur qui envahit mes lèvres divin chaleur de vos seins ardents pause mes sens enflammés furie de mes mains avides; je monte et descends par ces figures féminines. Un bruit de plus sur ma peau et un baiser qui tombe indiquant le chemin en descente.
J’avance avec une détermination transcendante, je vois une vallée de feu en feu, mes mains ouvrant la voie à la fureur, mes baisers, éteignant la chaleur entre tes jambes, ma langue se promenant dans ton sexe. Un grondement sur ta peau délicate et un murmure dévoré par la nuit extatique.
Une branche de soupirs et de délire. Tes mains grimpent sur mes jambes. Elles naviguent à la hâte vers le port et le phare. Un bruit qui déchaîne ton lit et tes mains qui traversent mon sexe éveillé.
Carousel de caresses mon âme tremble offrir tes mains fantasmes charnels gémissements chauds murmure mon tout chaud et chaud l'humidité de tes lèvres et ta langue glissant sur mes bords ardents Un bruit illumine la pièce et ma virilité complète dans ta bouche.
Le désir de mourir en un seul être, les corps nus fondent leur sentiment, notre cabine dégage un parfum de désir, cette petite selle anxieuse me permet de m'asseoir, tu accompagnes ma position et tu t'accroupis devant moi. Un bruit de plus Donne tes yeux à regarder les miens Et dans les mouvements de la hanche Le ciel descend pour moi.
La focalisation de ton corps dans mon esprit restera gravée comme ta volonté dans mon cœur; je vois tes cheveux, ton cou, ton dos. Une posture canine qui m'allume encore plus mes mouvements sont des hurlements de nuit maintenant. Un bruit plus fort, plus inspiré et mille gouttes de sueur répondent au plaisir..
Ton regard, aigle candide, poursuit le mien et pousse ma nature sur ce lit de plainte; ton sourire misérable sur ma vue perdue tes seins tombent sur ma bouche ouverte et assis sur ma taille tu joues à la cible. Un bruit passera par-dessus nous quand vous aurez raison. Nous avons cru un bruit. Un bruit n'était pas trop fort..
Il semble que le temps ait soudainement disparu, combien de temps il aura fallu à ma bouche pour atteindre la tienne; poitrine à poitrine je continue à pénétrer dans ta vie, ton souffle serré, pressé, grognon copie la précipitation de nos mouvements. le bruit final. Nos corps sont juste du plaisir et la moitié de ma vie voyageant vers ton corps.
Le lit défiguré nous permet de nous reposer ton visage collé à ma poitrine accompagne un soupir aucune force créée ne peut nous séparer maintenant Je t'aime La phrase timide et complaisante nous a donné ont passé cinq respirations. un geste de totale unité. Ma jambe, encore timide, passe entre les tiennes et nous arrivons au bord de ton lit. Une autre. et encore.
Tant que tu existes, tant que mon regard te cherche au-delà des collines, tant que rien ne remplit mon cœur, si ce n'est ton image, et qu'il y a une possibilité lointaine que tu sois vivante quelque part, éclairée par une lumière quelconque..
Tant que je sens que tu es et que tu t'appelles ainsi, avec ce nom si petit, je continuerai comme maintenant, ma bien-aimée, transitoire au loin, sous cet amour qui grandit et ne meurt pas, sous cet amour qui continue et ne finit jamais..
Sur la nueur ardente glissante vibre le tulle de la sensualité; revêtue d'air, en liberté, comme dotée d'ailes légères.
Rigidité des mamelons, comme des balles sur le point de tirer; volonté créatrice d'une complicité qui vous donne plus vous donnez plus vous donnez.
Une attitude réceptive et réceptive, qui dans chaque cavité, suce et dévore, et exprime l'inflexible dans la douceur.
Des parenthèses de cuisses ouvertes, enfermant fermement mes greffes, comment ta voix entre sourires gémit.
Avec cette sensualité qui ne semble pas s'arrêter
Avec cette essence qui m'enveloppe sans cesse
Qui me mouille, qui me perd, qui me fait vibrer
À distance, même sans toi
Ils réveillent l'humidité de mon intimité
Et à mes désirs qui sont désespérés, Asseyez-vous, touchez-moi, embrassez-moi et laissez-moi aller dans votre humidité
Laisse-moi faire l'amour avec toi subtilement
Laissez-moi me rendre complètement
Laisse-moi vivre dans un instant pour toujours
Je veux te sentir et que tu me sens
Me perdre dans toi, dans tes affaires, dans tes baisers
Dans tes pensées, dans tes rêves, dans tes désirs
Les faire miens, les faire nôtres
Je me sens comme si je t'abandonnais sans réserve
Je me laisse emporter par les vagues du plaisir
De la mer de ton corps et ainsi je pénètre
Jusqu'au fond de ton intimité et de ton être
Je me sens comme un naufragé sur l'île du plaisir.
Après avoir traversé des vagues d'angoisse Des vagues de plaisir qui ont frappé fort
Sans cesse à nos corps qui transpirent
Pendant que nos baisers humides
Ils nous ont rafraîchis de nos angoisses
Je me perds en toi et je me retrouve
Je peux voir dans le ciel
Que la nuit n'est plus sombre
Elle est devenue une lentille.
Et je pouvais encore une fois sans cesse
Je pouvais t'aimer sans que tu sois là.
Je suis avare de ton corps, de ta peau douce qui glisse sur la mienne. Ta peau: carte mémorisée dans le sel Avarice ce palpitation lingual sur mon salient pompant la jambe à l'intérieur: rituel-éveillant de nos instincts, salive partagée, effluves unis
Avarice, ta nudité simple, la décadence de nos souffles, nos regards perdus qui se cherchent, ton cou ouvert sur moi, la fragilité de cette ascension momentanée qui nous transporte dans le corps de l'autre où nous mourons, à nouveau, dans la vie, où nous vivons un instant, dans la mort
Tu es la portion de toi en moi, dans le vide qui ne peut couvrir nos corps, si enchevêtrés cohabitent en amas d'embrassements, l'infini rideau formé sur la couverture de notre peau, le rideau éparpillé qui flotte entre les gémissements d'un animal blessé.
La lumière du réveil qui vacille en faisant un clin d’œil à la mort aimante, une goutte de sueur pieds nus qui piétine le sol, se dépose sur mes pieds et s’évapore Le même bois forgé en albâtre confit à l’odeur de cannelle et de menthe poivrée, le loquet rouillé des vieux trucs, le grain de poussière qui s’effiloche en milliers de lumières flottantes, immobile dans la gravité d’un faible reflet
Le tableau qui pend au sommet; serpentine et reptile pendante de tulipes embrassées
Le coin de la fente
de la vitre qui laisse échapper des ondes fluctuantes de lumière: des opals blancs qui s'écrasent contre le mur
Le lit étroit qui siffle son existence instable, la bougie électrique qui projette des ombres chinoises et éparthes, tu es l'habitacle même où, condensé de particules de toi, se déroule l'alchimie de nos corps.
Vous connaissez l'ego calme, le flirt inoffensif, le jour et le musical. Qui sait quand la méchante, la viperine et la vindicative émergera. Mais je sais que vous êtes tous les deux passionnés de sexe. Et ils sentent les doigts.
Écrire un poème, c’est comme un orgasme : ça tache l’encre autant que le sperme, ça maculait aussi plus parfois. Il y a des après-midis, cependant, où je tâtonne les mots, mords leurs seins et leurs jambes agiles, soulève leurs jupes avec mes doigts, les regarde, fais ce que je fais toujours, et malgré tout, je vois : il ne se passe rien ! Cesar Vallejo l’a très bien exprimé : « Je dis-le et je ne le fais pas”.
Je pense à ton sexe. En simplifiant mon cœur, je pense à ton sexe, avant le hijar mûr du jour. Je sens le bouton de félicité, c’est la saison. Et un vieux sentiment dégénère en cerveau meurt. Je pense à votre sexe, un sillon plus prolifique et plus harmonieux que le sein de l’ombre, bien que la mort conçoive et enfante Dieu lui-même.
Oh Conscience, je pense, oui, au brute libre qui jouit où il veut, où il peut. Oh scandale de miel du crépuscule.
Oh, le bruit muet.
Dépouillez-moi les paupières et les joues, à des baisers Le coin vous attend: entrecoupé
Le cou élevé pour être abordé; par vos lèvres
Il court lentement sur mes épaules, découvertes et maintenant que j'ouvre les yeux, regarde-moi et nous parlons
Comme un oiseau, mon doigt a un nid dans le petit point d'herbe de votre teint caché. Elle court par tes bras, et ta bouche est pleine de fleurs, et tu siffles d'un sein à l'autre avec joie. L'eau est dans le trou de ton petit bouton enfoncé.
Une chaleur silencieuse naît dans mes lèvres. Mon sang accélère inquiet et une pensée qui sent le ciel s'impose, ma fleur épuisée qui gardait le repos aujourd'hui rompt son sommeil dans l'extase du désir. Pardonne-moi mon bien-aimé de te désirer avec délire, mon âme crie tes baisers, et être vide sans toi me tue. Je ne me reposerai pas jusqu'à ce que tu arrives à la vie ou au destin cette fois nous serons à nouveau ensemble.
¡Dis-moi! Que ta voix, écho du ciel, me suive partout sur la terre. Tant que j’entends ta voix, peu m’importe que le dédain sur tes lèvres me maudisse. Regarder!. Ton regard m’a brûlé, et j’ai soif de ce regard, éternel. Pour voir tes yeux, que mon âme brûle de ce regard dans l’enfer céleste.
¡Aimez-moi! Je ne suis rien. Mais ta main droite sur mon front pâle pour un instant, peut faire de l'esclave agenouillé l'homme roi au cœur géant.
Quand tu me prends dans tes bras, je vois la vie rose
Ma tactique est de vous regarder, d’apprendre comment vous êtes, de vous aimer tel que vous êtes, ma tactique est de vous parler et de vous écouter, de construire un pont indestructible avec des mots
ma tactique est de rester dans ton souvenir je ne sais pas comment ni sous quel prétexte mais rester en toi ma tactique est d'être franc et de savoir que tu es franc et que nous ne nous vendons pas de simulacres pour qu'entre les deux il n'y ait ni rideau ni abîme
Ma stratégie est plutôt plus profonde et plus simple Ma stratégie est qu' un jour quelconque je ne sais pas comment ni sous quel prétexte tu auras enfin besoin de moi.
Tu ne peux pas revenir en arrière parce que la vie te pousse déjà comme un hurlement sans fin.
Je cueillais déjà de chaque belle lèvre des roses pourpres sans crainte d'épines, j'étais, oh, soleil clair envieux, quand ta lumière, blessant mes yeux,
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