Je suis venu ici pour connaître complètement les autres, l'année dernière j'ai décidé que je voulais changer beaucoup de choses dans ma vie, depuis la rupture de mon couple jusqu'à mes études. J'aime la diversité des cultures, connaître et me permettre de connaître. Si vous êtes ici, en train de me rencontrer, d'observer chaque mouvement que je fais, même de tomber amoureux peut-être, n'oubliez pas de dire ce que vous ressentez et ce que vous voulez voir dans mon spectacle. J'aime qu'ils aiment m'avoir vu
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Rasé, elle était vraiment belle, jusqu'au nombril tout enroulé, les jambes grandes ouvertes, et assis dans une chaise large et spacieuse.
Mon but est de vous captiver et de réaliser vos rêves les plus intimes. Avec un mélange de tendresse et d'audace, je vous envelopperai dans une expérience pleine de passion et de désir. Si vous passez du temps avec moi, je vais vous rendre spécial et vous donner le meilleur de moi afin que vous profitiez de chaque minute autour de moi 😘 , Je vous invite à voir mes photos et vidéos et à poster des amoureux 💖 , aussi si vous aimez ce que vous voyez, vous pouvez m'ajouter votre favori ⭐ et laisser votre avis sur moi, J'espère, que ce sera des choses agréables et positives. Vous trouverez une fille très souriante et avec un peu de folie, mais vous pourrez également découvrir mon côté le plus sensuel car j'apprécie la passion et l'érotisme chaque fois que je le peux, j'aime parler de mes goûts, passions et fantasmes, j'adore rencontrer de nouveaux amis ❤ J'adore vous voir excité et fondu.
Rasé, elle était vraiment belle, jusqu'au nombril tout enroulé, les jambes grandes ouvertes, et assis dans une chaise large et spacieuse. En le regardant elle était très heureuse, après qu'elle ait été très bien rasée, et en se moquant, insouciant, il a mis son doigt à l'intérieur de la chose. 🥵😈
Et comment il secouait ses hanches, à l’appât utilisé, répondant, Cela lui donnait un certain goût après. Mais comme il savait que ce n’était pas vrai, il dit: «Faites attention! Que fais-je? "Ce n'est pas le bois de ce feu.🥵
Je rêvais d'une jeune fille endormie avec un gallant qu'elle aimait tendrement, et que en lui tout était travail diligemment et aucun d'eux avait aucune négligence. Elle, bien que mal, a finalement résisté, en disant: «Que diront les gens de moi? En fait il a accompli son accident, tous les deux terminant leur obstination. Le galant l'embrassa et l'embrassa avec plus de chaleur qu'un bûcher brûlant; la douceur de verser ne commença pas, quand il se réveilla, et dit au rêve:?” 🌹
Abat-jour en soie rouge. Tes cuisses, comme l'après-midi, passent de la lumière à l'ombre. Les jets cachés Ils assombrent vos magnolias. Me voici venu pour dévorer ta bouche et te traîner par les cheveux au petit matin de coquillages. Parce que je veux et parce que je peux. Nuance de soie rouge.💦
Le corps de la femme, les collines blanches, les cuisses blanches, vous ressemblez au monde dans votre attitude de dévouement. Mon corps d'un fermier sauvage vous mine et fait sauter le fils des profondeurs de la terre.. Je suis allé seul comme un tunnel. Les oiseaux s'enfuirent de moi et la nuit entra en moi avec sa puissante invasion. Pour me survivre, je t'ai forgé comme une arme, comme une flèche dans mon arc, comme une pierre dans ma fronde.. Mais l'heure de la vengeance tombe, et je vous aime. Corps de peau, de mousse, de lait pressé et ferme. Ah les lunettes de poitrine! Ah les yeux de l'absence! Ah les roses pubiques! Ah ta voix lente et triste! Corps de ma femme, je persisterai dans ta grâce. Ma soif, mon désir illimité, mon chemin indécis! Des canaux sombres où la soif éternelle continue, et la fatigue continue, et la douleur infinie..🌹
et tu me dis que tes seins sont épuisés de m'attendre, que tes yeux ont mal de les avoir vides de mon corps, que tu as perdu même le toucher de tes mains pour sentir cette absence dans l'air, que tu oublies la taille chaude de ma bouche. Et tu me dis que tu sais que j'ai tiré du sang dans les mots de répéter ton nom, de frapper mes lèvres avec la soif de t'avoir, de frapper ma mémoire, de l'enregistrer aveuglément, une nouvelle façon de te sauver dans des baisers de l'absence dans laquelle tu me cries que tu m'attends Et tu me dis que tu es si habituée à ce loisir inhabité de ma chair que ton ombre se révèle à peine, que tu es à peine vraie dans cette obscurité que la distance met entre ton corps et le mien. 💋
Parce que ce n'est pas l'impatience de la chercheuse d'orgasme qui me tire de mon corps vers d'autres corps pour éventuellement être jeune: je poursuis aussi l'amour doux, l'amour tendre à dormir à côté et à quel point mon lit est heureux quand tu te réveilles, fermé comme un oiseau. Si je ne peux jamais me déshabiller, si je n'ai jamais pu entrer dans les bras sans ressentir - même si c'est juste un instant même éblouissement qu'à vingt ans! Pour connaître l'amour, pour l'apprendre, il faut avoir été seul. Et il faut en quatre cents nuits -avec quatre cents corps différents- avoir fait l'amour. Que ses mystères, Comme le disait le poète, ils sont de l'âme, mais un corps est le livre dans lequel ils sont lus. Et c'est pourquoi je suis contente de m'être roulée sur le sable épais, à moitié habillées, pendant que je cherchais ce tendon d'épaule. Je suis ému par le souvenir de tant d'occasions. 💘
Writing a poem is like an orgasm: L'encre tache autant que le sperme, cela prend aussi plus d'efforts parfois. Il y a des après-midi, cependant, où je manipule les mots, je mords ses seins et ses jambes agiles, je soulève leurs jupes avec mes doigts, je les regarde d'en bas, je fais ce que je leur fais toujours et, malgré tout, vois: pas de problème! Cesar Vallejo l’a très bien exprimé : « Je le dis et je ne cours pas. Mais il se cachait 🎈
Le corps d’une femme est un trésor sublime, une œuvre d’art qui rayonne de féminité sans limites. Ses courbes sont douces comme le balançoire de la mer, une symphonie de formes qui vous fait tomber amoureux quand vous le regardez. Dans ses yeux il y a des mystères non déchiffrés, son regard profond, comme des étoiles à briller. Ses lèvres sont douces, comme des pétales de rose, invitant à être embrassés avec intensité et prose. Ses mains, délicates et pleines de tendresse, caressent le monde avec de doux coups de douceur. Dans son rire se cache l’essence de la joie, une chanson libre qui enivre et infecte chaque jour. Les cheveux d'une femme sont doux et soyeux, une cascade de rêves et de désirs au repos. Sa peau, douce et lisse comme la soie, est un poème écrit en vers de beauté. Le corps d’une femme, une symphonie divine, une danse éternelle qui captive et fascine. C’est un temple sacré plein de force, un univers entier dans chacune de ses promesses. Célébrons donc le corps d’une femme, avec admiration et respect, avec un amour involontaire. Parce qu'en chacun se trouve le pouvoir, d'être une source de vie et de force pour renaître.
Le corps d’une femme, une œuvre d’art divine, Une toile où se dessine la beauté authentique. Un mystère incomparable se cache dans ses courbes, Un univers de secrets à révéler. Ses yeux, deux étoiles qui brillent d'intensité, Reflétant les émotions, transmettant leur vérité. Son regard profond, comme l'océan bleu, Il cache des histoires anciennes, aussi mystérieuses que le tulle. Ses lèvres, douces et tentantes comme du nectar, Elles t'invitent à t'embrasser, à découvrir leur saveur. Son sourire, un rayon de soleil à l'aube, Il illumine le monde entier, plein de plaisir. Ses cheveux, une cascade de soie et de liberté, Encadrant ton visage avec délicatesse et douceur. Un éventail de couleurs, comme un jardin en fleurs, L'élevant au plus haut, comme un oiseau en vol. Ses mains, délicates et fortes à la fois, Capables de construire, caresser et soigner. Un refuge dans la tempête, un réconfort dans la tristesse, Ils guérissent les blessures, créent des caresses, créent de la beauté. Ses jambes, fermes et hautes comme une colonne, Elles sont le chemin qui guide ta danse de vie. Ils marchent avec courage à chaque pas qu'ils font, Laissant des traces éternelles dans l'histoire de l'humanité. Le corps d'une femme, un chef-d'œuvre sublime, Digne d'être admiré pour toute l'éternité. C’est une symphonie de formes et de sensations, Un don divin, plein d’émotions.
Comme une sculpture céleste, votre corps se déploie, des courbes douces comme des vagues dans la mer, une fusion exquise de grâce et de force, une œuvre d'art digne d'admiration. Tes yeux, deux étoiles qui illuminent mon être, Ils reflètent l'éclat d'un univers stellaire, Ton sourire, un rayon de soleil qui me fait fleurir, Une étincelle de joie dans chaque éclair de lune. Tes lèvres, comme des pétales de rose au printemps, Magiquement irrésistibles en s'embrasant, Ta peau, douce et soyeuse comme la brise de mer, Un doux printemps pour mes mains à toucher. Tes bras, refuge sûr en temps de tempête, Enveloppé dans une étreinte qui accueille le cœur, Tes jambes, piliers fermes qui ne chancelleront jamais, Un chemin de passion et de désir dans chaque voyage et expédition. Et parmi tous ces trésors, ton essence se révèle, Un amalgame de douceur et de force inégalée, Tu es une poésie en mouvement, une muse qui inspire et met en garde, Un être unique et divin, inoubliable et inestimable. Ainsi, abandonné devant ton corps céleste, j'élève ma voix dans un chant d'admiration et d'amour, Parce que tu es l'essence même du céleste, Tu es la beauté dans son expression maximale et éternelle, femme.
Comme une pleine lune au crépuscule de la nuit, Le corps d'une femme brille de sa propre lumière. Chaque courbe est un poème, chaque ligne une œuvre d’art, et dans chaque mouvement son essence se révèle. Sa peau, douce comme la soie, aspire aux caresses, tandis que ses yeux, deux fenêtres sur l’infini, reflètent le feu sacré qui brûle en elle.. C'est une toile vierge où l'amour est peint. Sur ses lèvres, une symphonie de doux murmures, un hymne au plaisir qui se réveille dans l'air. Ses cheveux, une cascade de rêves et de secrets, qui caresse doucement son dos nu. Ses mains, délicates et fortes à la fois, Elles sont capables de guérir et de créer d’un simple toucher. Avec chaque câlin, procure du confort et de la protection, comme un refuge sûr au milieu de la tempête. Le corps d'une femme est un mystère, un univers à découvrir, un trésor inestimable. A chaque courbe, chaque ligne, chaque soupir, nous invite à témoigner de sa merveilleuse magie. Une œuvre parfaite de la création divine, un don qui mérite d’être admiré et respecté. Le corps d'une femme est la vie en mouvement, une danse céleste qui nous remplit d'émerveillement et d'amour.
Le corps d'une femme, un temple divin, Des courbes douces qui captivent tous les sens, Dans sa peau s'entrelacent les versets du destin, Un chef-d'œuvre, dans chaque mouvement fluide. Dans ses yeux, des éclairs d'étoiles brillantes, Reflet de son âme et de son charme infini, Regard profond qui captive instantanément, Le pur magnétisme, est son plus grand attribut.
Elle se tient devant moi Une vision de la beauté Son corps est la perfection. Je ne peux m'empêcher de l'admirer. Elle a des courbes dans tous les bons endroits. Et sa peau est si douce que je veux juste la toucher et sentir ses courbes contre moi.
Elle est tout ce que j'ai jamais voulu et je ne peux pas l'avoir Mais juste en la regardant Il suffit de faire battre mon cœur Elle est l'incarnation de la féminité. Et je ne peux m'empêcher de l'adorer Elle est tout ce que j'ai jamais voulu et je ne peux pas l'avoir Mais juste en la regardant C'est assez pour faire battre mon cœur
Le corps d'une femme est une œuvre d'art. Créée par l'artiste qui est nature. Un chef-d'œuvre parfait, peu importe la taille. Chaque courbe et ligne en parfaite harmonie. Une œuvre d’art qui est faite pour être admirée. Et aimé pour toute l'éternité.
Sur la toile de la création, sa figure est dessinée délicatement, avec des courbes comme des pétales que la nature a sculptés. Son corps, un poème en mouvement, où chaque vers est un baiser prononcé. Ses yeux, deux étoiles qui illuminent le firmament, reflétant des mers d’émotions dans son regard, un éclair d’étoiles qui guident mes pensées, dans leur luminosité je trouve l’espoir le plus désiré. La grâce de son cou, un cygne à l’horizon, élégant et élancé comme la tige d’une fleur, vous invite à vous laisser emporter par le doux balançoire du vent, à vous perdre dans le rêve éternel de son candeur..
Sa poitrine, deux collines qui transmettent la vie, une vallée fertile où les désirs sont cultivés, un manteau chaud qui offre chaleur et abri, un refuge sacré où je trouve mes désirs. Ses mains, deux ailes qui me conduisent à la fuite, douces caresses qui enflamment le feu de l'amour, touchant ma peau avec une douceur qui me séduit, diluant mes peurs et éveillant mon ardeur. Ses jambes, colonnes fermes qui soutiennent sa marche, inspirant dans son pas la grâce d’une déesse, marchant avec élégance, laissant des empreintes dans la mer, sa présence est un cadeau, une belle bénédiction. Dans chaque centimètre de son corps je trouve de la poésie, une symphonie divine qui m'enveloppe dans sa mélodie, un chef-d'œuvre créé par les mains d'un artiste, preuve tangible de la beauté la plus exquise. Parce que le corps d'une femme est un don divin, c'est un temple sacré dans lequel je place ma dévotion, une ode à la féminité, à ce qui est beau et authentique, un hommage plein d'amour et d'admiration.
Je pense à ton sexe. Simplifié le cœur, je pense à votre sexe, avant la fille mature du jour. Je sens le bouton du bonheur, c’est en saison. Et un vieux sentiment meurt dégénéré en cerveau. Je pense à ton sexe, plus prolifique et harmonieux que le ventre de l'ombre, bien que la mort conçoive et arrête Dieu lui-même. Oh Conscience, je pense, oui, à la brute libre qui jouit où elle veut, où elle peut. Oh miel scandale des crépuscules. Oh, rugissement silencieux. Odumodneurtse! 💕
Quelque chose doit mourir quand quelque chose naît; Il doit être étouffé et sa substance aspirée pour être abreuvée ou allaitée dans laquelle un autre être satisfait son besoin. Il n'y aura plus d'heure où je t'embrasserai en mordant la candide abondance de tes deux seins; Il n'y aura aucun autre cas dans lequel votre corps se connectera à mon corps; Je ne pénétrerai plus la gorge angoissée de ton sexe alpin. Vous vous réveillez avec une autre lumière; Je refuse. Mon ardeur abattue élève ton autel, ma faim refoulée te nourrit et le gaspillage de mon lit te cimente.
À la vie chaleureuse qui passe la chanson avec la grâce d'une femme sans lettres ni masques, à la beauté invaincue qui sauve et fait tomber amoureux, répond, dans l'ivresse de l'heure enchantée, une prolifération de fourmis dans mes veines voraces. publicité Ils s'en prennent aux méfaits des picotements éternels le puits du silence et l'essaim du bruit, farine tranchée en double trophée dans les bustes fertiles, l'Enfer auquel je crois, le râle final et le prélude du nid. Mais plus tard mes fourmis me refuseront leur câlin et ils doivent fuir mes pauvres doigts travaillés comme un morceau de bagasse congelé s'oublie dans le sable; et ta bouche, qui est une suite d'audaces érotiques,
ta bouche, qui est ma signature, ma délicatesse et ma parure, ta bouche, dans laquelle la langue vibre face au monde comme une flamme réprouvée sortant d'un four, par une date nuageuse de vent gémissant publicité Quand la lune erre parce qu'elle veut te voler, Ça doit sentir le linceul et l'herbe broyée, aux drogues et au responso, à la mèche et à la cire. Avant que mes fourmis ne désertent, Bien-aimé, laisse-les marcher jusqu'à ta bouche pour accélérer les frais de voyage du fruit sanguinaire ça de l'oasis des Sarrasins me provoque. Avant que tes lèvres ne meurent, pour mon deuil, donne-les moi au seuil critique du cimetière comme le parfum, le pain, la toux et le cautère.
Abat-jour en soie rouge. Tes cuisses comme l'après-midi Ils passent de la lumière à l'ombre. Les jets cachés Ils assombrissent vos magnolias. Me voici, Lucia Martínez. Je viens consommer ta bouche et te traîne par les cheveux au petit matin des obus. Parce que je le veux et parce que je le peux. Abat-jour en soie blanche.
Je danserai sur le tapis de légumes, Ayez le vin rapidement dans le cristal sonore, nous boirons la liqueur dorée célébrer la nuit et sa fraîcheur. Je danserai comme une terre pure, Comme la terre je serai un trésor, et en me donnant la pureté je ne trouverai pas de honte, que se donner est une forme de hauteur. Je danserai pour que tu oublies tout et je devrai te donner l'ivresse que tu demandes jusqu'à ce que Vénus traverse le ciel et que tu sois à la hauteur de tes rêves. Mais peut-être que quelque chose te sera caché Quel pays d'un siècle pauvre Je ne laisserai pas tomber tous les voiles.
♪ Habitez-moi, entrez-moi ♪ ♪ Je ne suis pas le seul ♪. Que ton sang ne fasse qu'un avec le mien. Ta bouche entre ma bouche. Ton cœur l'agrandit jusqu'à ce qu'il éclate.. Déchirez-moi. Tu tombes entier dans mes entrailles. ♪ Laisse tes mains marcher dans mes mains. ♪. Tes pieds marchent sur mes pieds, tes pieds. Je vous en prie, brûlez-moi.. Je suis rempli de ta douceur. Laissez votre salive dans mon palais. Tu es en moi comme le bois est dans la matraque. Je ne peux plus faire ça comme ça, avec cette soif qui me brûle. La solitude, ses corbeaux, ses chiens, ses morceaux.
La soif de toi me hante les nuits de faim. Main rouge tremblante qui même sa vie s'élève. Ivre de soif, soif folle, soif de la jungle en sécheresse. Soif de métal brûlant, soif de racines avides. C'est pourquoi vous êtes la soif et ce qui doit l'étancher. Comment puis-je ne pas t'aimer si je dois t'aimer pour ça. Si c'est ça l'amarrage, comment puis-je le couper, comment? Comme si même mes os avaient soif de tes os. Soif de toi, atroce et douce guirlande. Soif de toi qui me mords la nuit comme un chien. Les yeux ont soif, à quoi servent tes yeux? La bouche a soif, à quoi servent tes baisers? publicité L'âme est en feu avec ces braises qui t'aiment. Le corps est un feu vivant qui doit brûler votre corps. De soif Soif infinie. Soif qui cherche ta soif. Et en lui, il s'anéantit comme l'eau dans le feu.
Prends-moi par la main. Allons sous la pluie pieds nus et légèrement habillés, sans parapluie, avec les cheveux dans le vent et le corps dans la caresse oblique, rafraîchissante et petite, de l'eau. Laissez les voisins rire! Puisque nous sommes jeunes et que nous nous aimons tous les deux et que nous aimons la pluie, soyons heureux avec la joie simple d'une maison de moineaux qui grouillent sur la route. Au-delà, les champs et le chemin d'acacias et la somptueuse villa de ce pauvre gentleman millionnaire et obèse, qui avec tout son or, ne pourrait nous acheter une once du trésor ineffable et suprême que Dieu nous a donné: soyez flexible, soyez jeune, soyez plein d'amour.
Notre amour est simple, pas d'éclats comme une de ces maisons avec des fougères et une autre grenouille intempestive
Oh, celui que je t'adore! A la lumière du jour j'invoque ton nom, passionné et triste, et quand le ciel est couvert d'ombres mon âme t'appelle encore exaltée. Tu es le temps que mes heures guident, tu es l'idée qui fréquente mon esprit, car en toi tout ce qui existe se trouve, ma passion, mon espoir, ma poésie. Il n'y a pas de chanson qui puisse égaler ton accent quand mon amour tu me dis et délirant révélant la foi de ton contentement; je tremble à ta voix et je tremble si tu me regardes, et je voudrais respirer mon dernier souffle brûlé dans l'air que tu respires.

L'ombre. Et la route sans fin. Le vide qui imite la forme de vos bras. Le bruit monotone de la pluie dans l'air. Avec la pointe et l'étoile, avec la pierre et l'arbre, avec tout ce qui garde la vérité de la terre ce soir je t'aime. Pour ce qu’il vit et chante. A travers les champs labourés. Par la main d’un enfant, par son cri, pour son éternel miracle. Je t'aime parce que tu aimes le rêve de l'avenir et tu étends ton nom dans l'espace comme un arc.
Entre tes bras entre mes bras entre les draps moelleux entre la nuit tendre seule féroce entre l'ombre entre les heures entre un avant et un après.
Cette chose pour laquelle je soupire? Peut-être que ça n'a pas de sens Trouvez-lui un nom terrestre. Je ne sais pas ce qui peut soulager mon passé, ni comment appeler ce que je désire; La passion de mes sentiments Rugit comme un tigre enchaîné.
Mon doux cœur s’est soudainement attaqué. Tout pour avoir adoré plus qu'il n'est permis. Tout cela parce qu'un cigare se trouve dans une bouche et dans ses soies juteuses il est humidifié. Car un t-shirt incitatif signale, de sa poitrine, le bouclier très dur, et un bras vigoureux de la manche minimale dépasse. Tout parce que les jambes, les jambes parfaites, À l'intérieur du pantalon le plus serré, ils se séparent devant moi. Ils se séparent.
Comment je t'aime? Eh bien je t'aime jusqu'à l'abîme et la plus haute région Que puis-je atteindre quand je poursuis? Les limites de l'Être et de l'Idéal. Je t'aime dans la vie la plus quotidienne, avec le soleil et à la lumière d'une bougie. Avec la liberté, comme on aspire au Bien; avec l'innocence de celui qui aspire à la gloire. Je t'aime avec la fièvre que j'avais avant dans ma douleur et avec ma foi de fille, avec l'amour que je pensais avoir perdu en perdant mes saints.. Avec les larmes et le sourire de ma vie.. Et si Dieu le veut, je t'aimerai beaucoup plus après la mort
Dans ta chambre couverte de rêves, fais un délice de fleurs et de lumières d'esprit; mon âme route du silence et vêtue de calme, ira vers toi sur le chemin le plus noir ce soir. Éteins les bougies pour voir de belles choses, ferme toutes les portes pour entrer dans l'illusion, arrache du mystère un tas d'étoiles Et ton cœur fleurit comme un verre triomphant. Et vous attendez en souriant, et vous attendez en pleurant! . Quand mon âme arrivera, peut-être prieras-tu en pensant que le ciel se déverse doucement dans ta poitrine.. Pour lui, amour divin, aie un lit de calme ou avec le lys mystique qui est son arme, mon âme
Toutes les intrigues de ma vie ont quelque chose de ton Et ce n'est vraiment rien d'extraordinaire. Tu le sais aussi objectivement que moi. Cependant, il y a quelque chose que j'aimerais clarifier pour vous, quand je dis toutes les intrigues, je ne fais pas seulement référence à cela maintenant, à attendre que vous et alléluia vous trouvez, et putain de vous perdre, et vous retrouver, et j'espère que rien de plus. Je ne veux pas dire que tu dis soudainement, je vais pleurer. Et moi avec un discret bosse dans la gorge, bien pleurer. Et qu'un beau torrent invisible nous protège et peut-être que c'est pour ça que le soleil sort tout de suite. Je ne veux pas dire juste que jour après jour, augmente le stock de nos petites et décisives complicités, ou que je puisse ou croire que je peux transformer mes revers en victoires, ou me donner le tendre cadeau de votre plus récent désespoir.
Non. La chose est beaucoup plus sérieuse.. Quand je dis toutes les intrigues, je veux dire qu'en plus de ce doux cataclysme, Tu réécris aussi mon enfance, cet âge où l'on dit des choses adultes et solennelles et les adultes solennels les célèbrent, et toi, d'autre part, tu sais que ça ne marche pas. Je veux dire, tu remettrais mon adolescence en ordre, cette époque où j'étais un vieil homme plein de doutes, et tu sais comment extraire de ce désert, mon germe de joie et l'arroser en le regardant. Je veux dire que tu secoues ma jeunesse, cette cruche que personne n'a jamais prise dans ses mains, cette ombre que personne n'a jamais rapprochée de son ombre, et toi, d'autre part, tu sais la secouer jusqu'à ce que les feuilles sèches commencent à tomber, et le cadre de ma vérité reste sans exploits. Je veux dire que tu embrasse ma maturité ce mélange de stupeur et d'expérience, cet étrange confinement d'angoisse et de neige, cette bougie qui illumine la mort, ce précipice de pauvre vie. Comme vous le voyez, c'est plus grave, beaucoup plus grave, Parce que par ces mots et d'autres, je veux dire que vous n'êtes pas si seul, la chère fille que vous êtes, mais aussi les femmes splendides ou prudentes que je voulais ou que je veux.
Parce que grâce à toi j’ai découvert (tu dis-les que c’était le moment et à juste titre) que l’amour est une baie belle et généreuse, qui s’illumine et s’assombrit, comme vient la vie, une baie où les navires vont et viennent, ils arrivent avec des oiseaux et des présages, et ils partent avec des sirènes et des nuages d’orage. Une baie magnifique et généreuse, où les navires arrivent et partent. Mais vous, s’il vous plaît, n’y allez pas
Je t'aime pour tes sourcils, pour tes cheveux, je te débat dans des couloirs très blancs où les fontaines jouent de la lumière, je discute avec chaque nom, je t'arrache doucement de la cicatrice, je mets des cendres de foudre dans tes cheveux et des bandes qui dormaient sous la pluie. Je ne veux pas que vous ayez une forme, que vous soyez précisément ce qui se trouve derrière votre main, parce que l'eau, considérez l'eau, et les lions quand ils se dissolvent dans le sucre de la fable, et les gestes, cette architecture de rien, allumant leurs lampes au milieu de l'allumette. Chaque matin c'est le tableau noir où je t'invente et dessine, prêt à t'effacer, ce n'est pas ce que tu es, ni avec ces cheveux raides, ce sourire. Je cherche ta somme, le bord du verre où le vin C'est aussi la lune et le miroir, je cherche cette ligne qui fait trembler un homme une galerie de musée. D'ailleurs, je t'aime, et c'est le temps et le froid.
Je chante ce que tu aimais, ma vie, au cas où tu t'approcherais et écouterais, ma vie, au cas où tu te souviendras du monde que tu as vécu, Au crépuscule je chante, mon ombre. Je ne veux pas me taire, ma vie. Comment me trouverais-tu sans mon cri fidèle? Quel signe, qu'est-ce qui me déclare, ma vie?
Je suis le même qui était le tien, ma vie. Ni lente, ni perturbée, ni perdue. Viens à la tombée de la nuit, ma vie ; venez en vous souvenant d’une chanson, de ma vie, si vous reconnaissez la chanson comme apprise et si vous vous souvenez encore de mon nom. Je vous attends sans date limite ni temps. N’ayez pas peur de la nuit, du brouillard ou de l’averse. Venez avec ou sans sentier. Appelle-moi où tu es, mon âme, et marche droit vers moi, mon pote.
Ma tactique est de te regarder apprendre comment tu es t'aimer comme tu es ma tactique est de te parler et t'écouter construire avec des mots un pont indestructible ma tactique est de rester dans ta mémoire Je ne sais pas comment ni je ne sais sous quel prétexte mais rester en toi
Ma tactique est d’être franc et de savoir que vous êtes franc et que nous ne nous vendons pas de perceuses pour qu’entre les deux il n’y ait ni rideau ni abîme, ma stratégie est au contraire plus profonde et plus simple, ma stratégie est que n’importe quel jour je ne sais pas comment ni je ne sais sous quel prétexte vous avez finalement besoin de moi.
Le jour où tu m'aimes aura plus de lumière que juin; La nuit où tu m'aimes sera une pleine lune, avec des notes de Beethoven vibrant dans chaque rayon ses choses ineffables, et il y aura plus de roses ensemble que dans tout le mois de mai. Les sources cristallines ils descendront les pentes en sautant cristallines le jour où tu m'aimeras.
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