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POEMES DES CLIENTS
Ah, se eu pudesse...
Se eu pudesse colher estrelas, todos os dias eu levaria uma para você. Se eu pudesse chegar ao sol eu pegaria um raio de luz só para você. Se eu pudesse encontrar o pote do arco-íris eu daria todas as cores para você. Eu faria isso tudo só por você! Se eu pudesse chamar todos os passarinhos eu os faria cantar para você. Se eu pudesse construiria uma montanha só sua para que você descansasse mais perto do céu. Se eu pudesse eu isolaria uma floresta onde só você pudesse entrar, ir ao seu próprio encontro e respirar a paz. Eu faria isso tudo só por você! Se eu pudesse eu lhe levaria todas as alegrias do Universo naqueles dias em que se sente triste. Eu criaria um lugar especial feito só para você. Um lugar onde você pudesse achar serenidade, estar só consigo e se refazer dos seus cansaços. Se eu pudesse apagar os seus problemas eu usaria toda minha força para fazê-los desaparecer. Eu faria isso tudo só por você! Mas não sei colher estrelas, não posso chegar ao sol, nem sei aonde está o pote do arco-íris. Não sei chamar os passarinhos, nem sou capaz de construir montanhas. Não tenho licença para isolar uma floresta, nem posso livrar você de todos os problemas. Mas eu sei que posso dar-lhe o que de mais forte existe em mim: esta vontade de ver você feliz e de estar sempre aí, com você até o fim!........beijos meu amor boa viagem e ótimas férias se cuida fica com Deus e mande fotos do passeio 💋💋💋💋💋❤❤❤💕💕💘💘💘💘
L'âme
Comme un exilé du vieux thème, J'ai descendu ton escalier ; Mais ce qu'a lié l'Amour même, Le temps ne peut le délier. Chaque soir quand ton corps se couche Dans ton lit qui n'est plus à moi, Tes lèvres sont loin de ma bouche ; Cependant, je dors près de Toi. Quand je sors de la vie humaine, J'ai l'air d'être en réalité Un monsieur seul qui se promène ; Pourtant je marche à ton côté. Ma vie à la tienne est tressée Comme on tresse des fils soyeux, Et je pense avec ta pensée, Et je regarde avec tes yeux. Quand je dis ou fais quelque chose, Je te consulte, tout le temps ; Car je sais, du moins, je suppose, Que tu me vois, que tu m'entends. Moi-même je vois tes yeux vastes, J'entends ta lèvre au rire fin. Et c'est parfois dans mes nuits chastes Des conversations sans fin. C'est une illusion sans doute, Tout cela n'a jamais été ; C'est cependant, Mignonne, écoute, C'est cependant la vérité. Du temps où nous étions ensemble, N'ayant rien à nous refuser, Docile à mon désir qui tremble, Ne m'as-tu pas, dans un baiser, Ne m'as-tu pas donné ton âme ? Or le baiser s'est envolé, Mais l'âme est toujours là, Madame ; Soyez certaine que je l'ai.
A mon ami
Tu sais l’amour et son ivresse Tu sais l’amour et ses combats ; Tu sais une voix qui t’adresse Ces mots d’ineffable tendresse Qui ne se disent que tout bas. Sur un beau sein, ta bouche errante Enfin a pu se reposer, Et sur une lèvre mourante Sentir la douceur enivrante Que recèle un premier baiser… Maître de ces biens qu’on envie Ton cœur est pur, tes jours sont pleins ! Esclave à tes vœux asservie, La fortune embellit ta vie Tu sais qu’on t’aime, et tu te plains ! Et tu te plains ! et t’exagères Ces vagues ennuis d’un moment, Ces chagrins, ces douleurs légères, Et ces peines si passagères Qu’on ne peut souffrir qu’en aimant ! Et tu pleures ! et tu regrettes Cet épanchement amoureux ! Pourquoi ces maux que tu t’apprêtes ? Garde ces plaintes indiscrètes Et ces pleurs pour les malheureux ! Pour moi, de qui l’âme flétrie N’a jamais reçu de serment, Comme un exilé sans patrie, Pour moi, qu’une voix attendrie N’a jamais nommé doucement, Personne qui daigne m’entendre, A mon sort qui saigne s’unir, Et m’interroge d’un air tendre, Pourquoi je me suis fait attendre Un jour tout entier sans venir. Personne qui me recommande De ne rester que peu d’instants Hors du logis ; qui me gourmande Lorsque je rentre et me demande Où je suis allé si longtemps. Jamais d’haleine caressante Qui, la nuit, vienne m’embaumer ; Personne dont la main pressante Cherche la mienne, et dont je sente Sur mon cœur les bras se fermer ! Une fois pourtant – quatre années Auraient-elles donc effacé Ce que ces heures fortunées D’illusions environnées Au fond de mon âme ont laissé ? Oh ! c’est qu’elle était si jolie ! Soit qu’elle ouvrit ses yeux si grands, Soit que sa paupière affaiblie Comme un voile qui se déplie Éteignit ses regards mourants ! – J’osai concevoir l’espérance Que les destins moins ennemis, Prenant pitié de ma souffrance, Viendraient me donner l’assurance D’un bonheur qu’ils auraient permis : L’heure que j’avais attendue, Le bonheur que j’avais rêvé A fui de mon âme éperdue, Comme une note suspendue, Comme un sourire inachevé ! Elle ne s’est point souvenue Du monde qui ne la vit pas ; Rien n’a signalé sa venue, Elle est passée, humble, inconnue, Sans laisser trace de ses pas. Depuis lors, triste et monotone, Chaque jour commence et finit : Rien ne m’émeut, rien ne m’étonne, Comme un dernier rayon d’automne J’aperçois mon front qui jaunit. Et loin de tous, quand le mystère De l’avenir s’est refermé, Je fuis, exilé volontaire ! – Il n’est qu’un bonheur sur la terre, Celui d’aimer et d’être aimé.
De plus en plus
De plus en plus fréquemment les contours de mon corps s’estompent et je deviens désir de m’assimiler au monde, y compris à toi, si possible par la peau comme le tour de passe-passe d’une plante avec l’oxygène ; et de vivre d’un feu inoffensif. Je ne te dévorerais pas, ni ne t’achèverais, tu serais encore là autour de moi, aussi entier que l’air. Malheureusement je n’ai pas de feuilles. À la place j’ai des yeux et des dents et d’autres choses encore non vertes qui excluent l’osmose. Alors méfie-toi, je ne plaisante pas, dernier avertissement: Cette voracité-là emporte tout avec elle ; impossible d’en discuter calmement et posément. Il n’y a aucune explication à cela, juste la logique du chien qui crève devant l’os.
SI VOUS AVEZ DE L’AMOUR À REVENDRE
je ne porte sur la bouche que du café et du rouge à la lèvre t’ai mordu l’âme mon bel inconnu je ne porte sur les yeux que leurs nuances de bleu grisée la table où je suis étranger déjà tu t’enfuis je ne porte sur la peau que du soleil et de l’eau hasard tu es revenu ainsi j’ose et porte aux nues mon épaule et mon cou awouu je suis la louve citadine à la terrasse de ton bistrot je suis la chienne de ta ville je viens lécher tes plaies tes maux tu ne portes sur la bouche que du tabac et du fruit écrasé entre les doigts en fumée évanoui tu ne portes sur les yeux que le reflet de mes aveux salie la table où tu étais plus qu’une pièce de monnaie tu ne portais sur la peau qu’une chemise de trop hasard tu as disparu ainsi j’ose et porte aux nues mon épaule et mon cou awouu je suis la louve citadine à la terrasse de vos bistrots je suis l’infirmière maladive je viens vous panser le cœur gros Brûler, brûler, brûler En retard, en retard, en retard, tu es en retard. Tu pédales, tu cavales. Tes perles brinquebalent sur tes secrets. Tu pédales, tu cavales. Culotte trempée, lèvres gonflées. Tu pédales, tu cavales. Brûler, brûler, brûler, brûler. Tu pédales, tu cavales. Brûler la liste du padre. Des interdits multipliés distribués à la volée comme des claques qui carillonnent au chevet de tes égarements. Interdit de te maquiller. De rire à gorge déployée. Interdit de te décolleter de raccourcir tes ourlets. Interdit de déambuler. Flâner toute seule dans le quartier. Interdit de noctambuler. Interdit de boire, de chavirer ! Interdit de danser, vibrer ! interdit de salir ta robe. L’honneur, le nom et la lignée. Interdit, interdit, interdit ! Mais toi, là, maintenant, arc-boutée sur ton vélo, le cœur tendu, amoureuse, tu n’en as que faire de tous ces interdits ! Tu pédales, tu cavales. Brûler la liste du Padre. Tu pédales, tu cavales. Tes perles brinquebalent sur tes secrets Tu pédales, tu cavales. Culotte trempée, lèvres gonflées. Interdit d’interdire d’aimer, de désirer, de fantasmer, de s’attacher, de s’enticher, de se sentir sur exister, toucher, goûter, se délecter, te caresser, culotte trempée, te caresser, lèvres gonflées, Danser, danser, vibrer, vibrer, Brûler, brûler, brûler...
Douce sauvageonne
Mes yeux croisèrent votre regard sur une simple photo, mais ô combien saisissante. Mon cœur s'arrêta de battre quelques instants, et cette belle sauvageonne sortie de cette image, tellement je la trouvai belle... une chevelure d'un noir-bleuté magnifique, des yeux a faire rêvés et une bouche a vous faire salivé... Moi, courtisane que je suis, vous imagine et m'émerveille devant cette beauté sauvage, intrigante, mystérieuse et invitante. S'il m'était donné la chance de courtisé une telle enchanteresse, je me ferai une telle joie d'assouvir vos moindre désirs, Madame! Je serai vêtue de mes plus beaux atours et vous de même, j'ose espérer. Je monterai l'escalier irai vous rejoindre a votre chambre, le cœur battant la chamade de désirs et d'allégresses. J'ouvrirai la porte et, l'enchantement prit place. Vous étiez la, allongée sur ce magnifique Baldaquin, garni de satin bleu, qui vous va a ravir, près de la fenêtre, la tignasse au vent, et la lumière du jour dévoilant le visage d'un ange et la douceur dans les yeux, Ouf! Un vent de fraîcheur juste vous contempler, je cru défaillir, tellement votre beauté me coupa le souffle. Or, dès cet instant, je compris pourquoi j'avais a peine a contenir ma fougue de vous prendre sur le champ. Je pris tout mon courage et m'avançâmes vers vous tout doucement afin de savourer chaque instant. Je caressai cette chevelure a l'odeur de pomme et de rose, je m'approcherai en vous susurrant a l'oreille combien je vous désir, vous sentiriez mon souffle sur votre cou, mes lèvres effleurant votre visage, déjà vous frissonnez, et, atteindre cette bouche sensuelle et au gout de miel. Tout doucement ma langue effleura vos lèvres charnues, une a une, et vous gourmande que vous êtes, ouvrît la bouche et saisissiez ma langue d'une tel ardeur... je ne vous croyais pas si féroce. Je me retirai un moment et vous contempla dans toute votre splendeur. Sous votre chemisier, je découvris votre poitrine ô combien invitante. Ah! Que c'est beau! J'arracherai ce dit chemisier et alla y déposé ma tête entre vos seins pour m'enivrer de votre odeur, du pur bonheur! Je caresserai votre peau aussi douce qu'une pêche fraîchement cueillie, descendrai mes mains le long de vos hanches, votre corps réagira sous mes caresses, mes mains devenues baladeuses vous fit sursauté, je vous sentais tellement vivante, que tout mon corps se mit en ébullition. L'animal en moi fit surface, tellement je voulu vous posséder et vous faire mienne. Vos seins m'invitaient a nouveau, je l'ai mordillai tendrement, je léchai ces mamelons déjà très dur. Mon clitoris me faisait mal tellement vous m'excitiez, vous entendre gémir légèrement, résonnai musique en moi. J'entrouvris vos jambes quelque peu tremblantes et y fit glisser ma langue le long de vos cuisses, vos mains m'agrippa le dos, et de vos ongles effilés m'arrachiez la peau. Je vous scrutez du regard, et vos yeux m'imploraient pour que je goûte enfin a ce jardin de plaisir, mais je vous fît patienté, je jubilai... je pris quelques plumes et frôlai a nouveau vos cuisses jusqu'à l'entre jambe, je vous sentais impatiente et fiévreuse de désir, la sève monta en moi, tout comme un volcan prêt a jaillir, me laissai emporter vers ce bouton de rose déjà tout gonflé de plaisir, j'oserai a peine l'effleuré, et d'un coup de langue vous transporterai vers le summum de l'extase.... Oh! Malheur! Je m'éveillerai, car ce n'était qu'un rêve... et tout ça, n'est que poésie...!!!
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Rire, c'est risquer d'être ridicule. Pleurer c'est risquer d'avoir l'air sentimentale. Tendre la main vers les autres, c'est risquer l'engagement. Exprimé ses sentiments, c'est de révéler sa véritable nature. Exposer ses rêves et ses idéaux c'est risquer de les perdre. Aimer c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre c'est risquer de mourir. Espérer c'est risquer l'échec. Alors il faut tout risquer pour exciter
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c'est parfois dure d'oublier tout ce que l'on endure. lorsqu'on est blessé, les blessures intérieures peuvent nuire au bonheur. aussi dure que cela puisse être, il est important d'apprendre à lâcher prise pour faire la paix avec soi même et avec le monde extérieure lâcher la prise c'est calmer la rage, devenir plus sage, tenter d'accepter ce qu'on ne peut pas changer, apprendre à s'en détacher comme on dit: mieux vaut un morceau de pain sec avec la tranquillité qu'une maison pleine de viande avec des disputes
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doucement près de moi t'es venu, sentant la chaleur de mon corps dévêtu comme un mirage t'es apparu, j'étais figer comme un statue c'est alors que je sortais des nues, le drap était couleur cru et mon âme était convaincu devant ce tableau inattendu nos deux corps en un seul se sont confondus, tendrement mon cou tu m'as mordu et de long baisers interrompues vers mon lèvres ont accourues sur le lit j'étais étendues, quelques minutes j'ai attendu a cet instant l'aime a vaincu gouttant le fruit défendu certes timides et émues je me suis senti confus de la soif d'amour nous étions répus, heureuse t'es devenue mon élu _____________________________
la solitude
le temps était brumeux comme une page blanche sur laquelle je viens d'esquisser ces trois traits qui pour un papillon, vont lui servir de branche pour s'éloigner du froid et se mettre en retrait. moi qui me voyait là en grande solitude, comment cette illusion m'est- t'elle parvenue toujours est-il que j'ai dès lors la certitude que mes idées en sont de nouveau revenues. si ce doux papillon m'apparaît être muse pour m'inciter ici à poser quelque vers, je me laisserais bien aller à Syracuse plutôt que dans le froid du nord à Vancouver. ma page se découvre alors en univers duquel je peux enfin exprimer ma jouissance comme l'est un printemps aux jeunes primevères redonnant à l'envie toute son arrogance. en rejetant au loin ce temps de solitude je redeviens celui qui vous donne ses mots en espérant que ce n'est pas par habitude que vous allez ici me dire qu'ils sont beaux la brume a disparu comme ma page blanche et je pars ainsi dans le froid de la nuit, il n'est pas sain n'ont plus que par trop on s'épanche le silence est toujours bien meilleur que le bruit Chibani, (une des poèmes que je préfères)
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il y a tant de façons d'aimer qu'on ne sait parfois laquelle donner mais maintenant je veux l'avouer la plus belle est encore l'amitié, c'est toujours la plus sincère et celle qui dure la plus longtemps aimer simplement du fond du cœur, prête à tout pour cette ami de cœur il y a tant de façons d'aimer et si peu de gens qui s'aiment pourquoi tant d'indifférence, d'injustices et de peurs? aimer est un bon mot, mais encore faut-il l'appliquer moi je préfère t'aimer simplement en amitié ça viendra du fond du cœur et ça durera jusqu'à l'éternité
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n'abandonne surtout pas
lorsque dans ta vie rien ne va plus, que les problèmes tourmentent ton esprit et que l'argent cause tant de soucis ... repose toi s'il le faut mais n'abandonne surtout pas lorsque tant d'erreurs a été commises, que tout ton univers menace de s'écrouler et que fatiguer, tu sens la confiance t'abandonner repose toi, s'il le fau mais n'abandonne surtout pas tu sais, la vie est parfois étrange avec son lot de surprises et d'imprévus. il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir, ni combien d'obstacles ne devrons surmonter avant d'atteindre le bonheur, la Paix et la Réussite combien de gens malheureusement cessé de lutter, alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus pour qu'un échec se transforme en réussite. et pourtant un pas à la fois n'est jamais trop difficile, tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire de faire ce petit pas de plus. tu verras alors que cette attitude plein de Foi, appellera à elle, de plus profond de toi même, des forces et des énergies de vie que tu ne soupçonnais même pas et qui t'aiderais à réaliser ce que tu peux entreprendre. mais surtout et avant tout, souviens toi bien de ceci: quand ta vie, des moment difficiles viendront...... repose toi s'il le faut mais n'abandonne surtout pas
« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant »
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d’être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l’ignore. Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L’inflexion des voix chères qui se sont tues.
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