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Hé bébé, si tu es là, je te souhaite une bonne journée, je suis une fille colombienne qui aime parler et recevoir du plaisir de messieurs, j'aime beaucoup et tu recevras aussi ma part. 🥰🥰🥰 même si vous n'y croyez pas parfois je suis un peu timide même si j'adore rencontrer des gens du monde entier, découvrir différentes cultures et observer ce qui peut arriver.
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Hey bébé, si tu es ici, je te souhaite une bonne journée, je suis une fille colombienne qui aime parler et recevoir du plaisir de la part des messieurs, j'aime beaucoup et tu recevras aussi ma part. 🥰🥰🥰 Même si vous ne le croyez pas, parfois je suis un peu timide, bien que j'aime rencontrer des gens du monde entier, découvrir des cultures différentes et observer ce qui peut arriver.
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Hey bébé si tu es ici, je te souhaite une belle journée, je suis une fille colombienne qui aime beaucoup discuter et recevoir du plaisir des messieurs, j'aime un bon traitement et ma part, tu le recevras aussi. 🥰🥰🥰 Même si vous ne le croyez pas parfois, je suis un peu timide, j'aime rencontrer des gens du monde entier, découvrir différentes cultures et observer ce qui peut arriver.
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Un rêve de cuisses de femmes
Ayant pour ciel et pour plafond
Les culs et les cons de ces dames
Très beaux, qui viennent et qui vont.
Dans un ballon de jupes gaies
Sur des airs gentils et cochons;
Et les culs vous ont de ces raies,
Et les cons vous ont des manchons!
Des bas blancs sur quels mollets fermes Si rieurs et si bandatifs Avec, en haut, sans fins, ni termes Ce train d'appâts en pendentifs, Et des bottines bien cambrées Moulant des pieds grands juste assez Mènent des danses mesurées En pas vifs, comme un peu lassés Une sueur particulière Sentant à la fois bon et pas, Foutre et mouille, et trouduculière, Et haut de cuisse, et bas de bas, Flotte et vire, joyeuse et molle, Mêlée à des parfums de peau A nous rendre la tête folle Que les youtres ont sans chapeau. Notez combien bonne ma place Se trouve dans ce bal charmant: Je suis par terre, et ma surface Semble propice apparemment Aux appétissantes danseuses Qui veulent bien, on dirait pour Telles intentions farceuses, Tournoyer sur moi quand mon tour, Ce, par un extraordinaire Privilège en elles ou moi, Sans me faire mal, au contraire, Car l'aimable, le doux émoi Que ces cinq cent mille chatouilles De petons vous caracolant A même les jambes, les couilles, Le ventre, la queue et le gland! Les chants se taisent et les danses cessent. Aussitôt les fessiers De mettre au pas leurs charmes denses, Ô ciel! Tu t'assieds Juste sur ma face, de sorte Que ma langue entre les deux trous Divins vague de porte en porte Au pourchas de riches ragoûts. Tous les derrières à la file S'en viennent généreusement M'apporter, chacun en son style, Ce vrai banquet d'un vrai gourmand. Je me réveille, je me touche; C'est bien moi, le pouls au galop.. Le nom de Dieu de fausse couche! Le nom de Dieu de vrai salop!
Un rêve de cuisses de femmes
Ayant pour ciel et pour plafond
Les culs et les cons de ces dames Très beaux,
qui viennent et qui vont.
Dans un ballon de jupes gaies
Sur des airs gentils et cochons;
Et les culs vous ont de ces raies,
Et les cons vous ont des manchons!
Des bas blancs sur quels mollets fermes
Si rieurs et si bandatifs Avec, en haut, un petit,
Ce train d'appâts en pendentifs est un véritable trésor.
Et des bottines bien cambrées Moulant
Des pieds grands juste assez
Menent des danses mesurées
En pas vifs,
Comme un peu lassés
Sentant à la fois bon et pas bon, je suis désolé.
, Foutre et mouille, et trouduculière,
Et haut de cuisse, et bas de bas,
Flotte et vire, joyeuse et molle
Mêlée à des parfums de peau
A nous rendre la tête folle
Que les youtres ont sans chapeau.
Notez combien bonne ma place
Se trouve dans ce bal charmant :
Je suis par terre, et ma surface
Semble propice apparemment
Aux appétissantes danseuses
Qui veulent bien, on dirait pour
Telles intentions farceuses,
Tournoyer sur moi quand mon tour,
Ce, par un extraordinaire
Privilège en elles ou moi,
Sans me faire mal, au contraire,
Car l'aimable, le doux émoi
Que ces cinq cent mille chatouilles
De petons vous caracolant
A même les jambes, les couilles,
Le ventre, la queue et le gland!
Les chants se taisent et les danses cessent.
Aussitôt les fessiers De mettre au pas leurs charmes denses,
O ciel! Et quand tu es l'un d'entre eux, tu t'assieds juste sur ma face,
de sorte Que ma langue entre les deux trous
Divins vague de porte en porte
Au pourchas de riches ragoûts.
Tous les derrières à la file
S'en viennent généreusement M'apporter,
Ce vrai banquet d'un vrai gourmand, chacun en son style.
Je me réveille, je me touche;
C'est bien moi, le pouls au galop.
Le nom de Dieu de fausse couche!
Le nom de Dieu de vrai salop!
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Quand je te vois passer, ô ma chère indolente, au chant des instruments qui se brisent au plafond suspendant ton allure harmonieuse et lente, et promenant l'ennui de ton regard profond; quand je contemple, aux feux du gaz qui le colorent, ton front pâle, embelli par un morbide attrait, où les torches du Tout au soir une aurore, et tes yeux attirants comme ceux d'un portrait, je me dis: qu'elle est belle et bizarrement fraîche le souvenir massif, royale et lourde tour, la couronne, et son cœur, meurtri comme une pêche, est mûr, comme son corps, pour le savant amour. Es-tu le fruit d'automne aux saveurs souveraines? Es-tu vase funèbre attendant quelques pleurs, Parfum qui fait rêver aux oasis lointaines, Oreiller caressant, ou corbeille de fleurs? Je sais qu'il est des yeux, des plus mélancoliques, Qui ne recèlent point de secrets précieux; Beaux écrins sans joyaux, médaillons sans reliques, Plus vides, plus profonds que vous-mêmes, ô Cieux! Mais ne suffit-il pas que tu sois l'apparence, Pour réjouir un cœur qui fuit la vérité? Qu'importe ta bêtise ou ton indifférence? Masque ou décor, salut! J'adore ta beauté.
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L'homme est la plus élevée des créatures; la femme est la plus sublime des idéaux.. Dieu a fait pour l’homme un trône ; Pour la femme un autel. Le trône exalte ; L’autel sanctifie. L’homme est le cerveau, la femme le coeur. Le cerveau fait la lumière, le cœur produit l'amour.. La lumière est féconde, l'amour ressuscite. L'homme est fort par la raison; la femme est invincible par les larmes.. La raison convainc; les larmes émouvent. L'homme est capable de tous les héroïsmes; la femme de tous les martyrs. L’héroïsme ennoblit ; Le martyre sublime. L'homme à la suprématie; la femme à la préférence. La suprématie signifie la force ; La préférence représente le droit. L'homme est un génie, la femme une ange. Le génie est incommeasurable ; L’ange indéfinissable. L'aspiration de l'homme, c'est la gloire suprême; l'aspiration de la femme, c'est l'extrême vertu. La gloire fait tout ce qui est grand ; La vertu fait tout ce qui est divin. L'homme est un code; la femme un évangile. Le code corrige, l'évangile parfait L'homme pense, la femme pense. Penser, c’est avoir dans le crâne une larve ; Songer, c’est avoir sur le front une auréole. L'homme est un océan, la femme est un lac. L'Océan à la perle qui orne; le lac, la poésie qui éclaire. L’homme est un aigle qui vole ; La femme est le rossignol qui chante. Voler, c'est dominer l'espace; chanter, c'est conquérir l'âme. L'homme est un temple, la femme est le sanctuaire. Devant le Temple nous nous découvrons ; devant le Sanctuaire nous agenouillons. Enfin: L'homme est placé où finit la terre; la femme où commence le ciel ».
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En voyant des daux ce matin
je ne me suis pas dit Voilà les riches
Ni la pudeur démocratique
Ni la liberté en honneur, ni la liberté en honneur
Le fait qu'on imite maintenant Les feuilles ô liberté
Ni les maisons, ni les champs, ni les étangs, ni les rivières,
Les yeux flambent parce qu'on partira pour ne plus jamais revenir
Ni ces mains agitées travailleront
Ni même on a pendu
Pour ceux qui ne savaient pas profiter de la vie Ni
On renouvelle le monde en reprenant
Je sais que seuls les hommes le renouvellent
On a pavoisé les esprits de ceux qui sont fondés en poésie
Paris parce que mon ami André Salmon s'y est installé.
Nous nous sommes rencontrés dans la rue.
Au temps de notre jeunesse
Fumant tous deux et mal vêtus attendant l'aube
Épris épris des même paroles dont il faudra
Tromper les pauvres, changer le sens
Des petits et ne sachant pas encore rire
La table et les deux verres devinrent un mourant qui nous accueillit.
Le dernier regard d'Orphée
Les verres tombèrent se brisèrent Et nous nous sommes écartés
Nous apprîmes à rire Nous partîmes alors pèlerins
A travers les rues à travers les rues de la perdition
Je le revis au bord de la mer
Le fleuve sur lequel flottait Ophélie Qui blanche
Il flotte encore entre les nénuphars Il s'en allait au bout de la nuit
milieu des Hamlets blafards Sur la flûte jouant les
Je le revi près d'un moujik mourant, et je le vis mourir
Je le revi faisant ceci ou celà, je le revi faisant ceci ou celà
A l'honneur des mêmes paroles Qui changent la vie
Je me suis assise devant les enfants et je dis toutes ces choses
Je suis venu chez Avenir parce que mon ami André Salmon se marie
Réjouissons-nous non pas parce que notre
L'amitié a été le fleuve qui nous a fertilisés
Terrains riverains dont l'abondance est la plus importante de la région.
Ni parce que vous êtes la nourriture que tous espèrent
Nos verres nous jettent encore une fois
Ni parce que je ne suis pas là
Nous avons tant grandi que beaucoup
Des nuages qui pourraient confondre nos yeux et les étoiles
Ni parce que les daux claquent aux portes.
La fenêtre des citoyens qui sont contents
Depuis cent ans d'avoir la vie et de menues
Ni parce que fondés sur des principes
poésie nous avons des droits sur les paroles
qui forment et défont l'Univers Ni parce que
Nous pouvons pleurer sans ridicule et que
Ni parce que nous savons rire Ni parce que nous fumons
et buvons comme autrefois Réjouissons-nous
Parce que directeur du feu et des poètes
L'amour qui emplit ainsi que la lumière
Tout le solide espace entre les étoiles
L'amour veut qu'aujourd'hui mon ami André Salmon se marie avec une femme de son choix..
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