Je suis une femme très extravertie qui n'a pas peur d'atteindre ses limites et j'aime savoir jusqu'à quel point de plaisir mon corps est capable d'arriver.
Contenu média :
Vous n'avez plus assez de crédits sur votre compte
Vous disposez de : 0,00 $US
Annie était une jeune femme pleine de vie, de charme et d'audace. Elle avait ce regard malicieux qui brillait d'envie de découvrir le monde, un sourire qui captait l'attention sans jamais la demander, et une énergie contagieuse qui illuminait chaque pièce où elle entrait.. Elle était belle, certes — une beauté naturelle, presque insolente — mais ce n'était pas ce qui la définissait. Ce qui la rendait vraiment unique, c'était sa soif d'indépendance, son esprit libre et son désir ardent de devenir maîtresse de sa propre destinée.
Depuis son plus jeune âge, Annie rêvait d'autre chose. Pas seulement d'aventures ou de paysages lointains, mais d'une vie où elle déciderait de tout : de ses choix, de son avenir, de ses amours et de ses passions.. Elle ne voulait pas seulement vivre: elle voulait construire, choisir, refuser, recommencer. Elle voulait être une femme forte, libre, assumée — une femme empoderada, comme elle aimait dire, avec ce mot qu'elle avait appris en espagnol et qu'elle prononçait avec un accent rieur.
Annie ne supportait pas l'idée d'être enfermée dans une vie toute tracée. Les conventions sociales l'ennuyaient, les attentes de la société la faisaient rire — ou parfois la mettaient en colère. Elle refusait d'être réduite à un rôle, à une case, à une image. Ce qu'elle voulait, c'était explorer le monde, découvrir d'autres cultures, rencontrer des gens qui pensent différemment, apprendre, se tromper, tomber amoureuse — peut-être — et surtout, grandir à sa manière..
Avec son sac à dos rempli de carnets de voyage, de livres féministes et de vieilles cartes froissées, elle prit un jour la décision de partir. Loin de sa ville natale, loin de ses repères. Elle ne fuyait pas, non. Elle avançait. C'était une fuite en avant, une quête personnelle. Elle voulait ressentir la liberté dans sa peau, dans ses choix, dans ses mots.
Sur son chemin, Annie rencontra d'autres femmes comme elle — curieuses, courageuses, parfois blessées, mais toujours debout. Ensemble, elles partageaient des histoires, des rêves, des espoirs. Ces rencontres nourrissaient Annie, lui donnaient des forces nouvelles, l'aidaient à affirmer sa voix. Elle comprit alors que l'émancipation n'est pas un but fixe, mais un processus, un chemin semé de doutes, de luttes, mais aussi de victoires intimes.
Annie n'avait pas besoin de permission pour exister pleinement. Elle voulait s'aimer elle-même, avec ses failles et ses feux, apprendre à dire non sans se justifier, à dire oui sans avoir peur. Elle voulait danser seule sur une plage, écrire des poèmes à la lueur d'une bougie, débattre dans une langue étrangère, pleurer sans honte, rire trop fort, aimer sans limites. Elle voulait tout vivre.
Avec le temps, Annie comprit que la vraie puissance venait de l'intérieur. Ce n'était pas dans les regards admiratifs qu'elle la trouvait, ni dans la validation extérieure. C'était dans sa capacité à se relever, à se choisir, encore et encore.
Elle n'était pas parfaite, et elle ne voulait pas l'être. Elle était vivante. Et c'était bien plus que suffisant.
Je me demande à quoi tu penses Quand nos cœurs ne se retrouvent pas A quoi peut ressembler la transe Quand t'es perdu loin de mes bras Je me demande à quoi tu penses Si tu sais que j'ai mal au cœur Que je ne sais plus comment je danse Paris, New York, tu fermes la porte Dis-moi que ça ne sera pas trop long Qu'ça durera le temps d'une chanson Marseille, Rome Cherche le sérum Qui va pouvoir soigner ma peine Qui va soulager la migraine Je me demande à quoi tu penses Quand nos cœurs ne se retrouvent pas A quoi peut ressembler la transe Quand t'es perdu loin de mes bras Je me demande à quoi tu penses Si tu sais que j'ai mal au cœur Que je ne sais plus comment je danse Berlin, Tokyo C'est que des mots J'ai beau écraser mon égo Reste le manque de ta peau Los Angeles, ouais tu me laisses Je sais qu'on se retrouvera Je sais bien que tu penses à moi Je me demande à quoi tu penses Quand nos cœurs ne se retrouvent pas A quoi peut ressembler la transe Quand t'es perdu loin de mes bras Je me demande à quoi tu penses Si tu sais que j'ai mal au cœur Que je sais plus comment je danse Qu'je vois les minutes (Ah-aah-ah, ah-aah-ah, ah-aah, ah-aah) Est-ce que finalement c'est pas moi qui suis perdue sans tes bras? Est-ce que finalement c'est pas toi qui a mal au cœur? Je me demande à quoi tu penses Quand nos cœurs ne se retrouvent pas A quoi peut ressembler la transe Quand t'es perdu loin de mes bras Je me demande à quoi tu penses Si tu sais que j'ai mal au cœur Que je ne sais plus comment je danse Qu'je vois les minutes comme des heures Je me demande à quoi tu penses Quand nos cœurs ne se retrouvent pas A quoi peut ressembler la transe Quand t'es perdu loin de mes bras Je me demande à quoi tu penses Si tu sais que j'ai mal au coeur Que je ne sais plus comment je danse Que je vois les minutes comme des heures
Donne-moi ton cœur Ta main et le reste Donne-moi c'que tu es C'que tu es Dis-moi tes peurs Chagrin et le reste Dis-moi qui tu es Qui tu es J'imagine un monde Un monde céleste Où personne ne sort nan Où personne ne reste Tes cris dans la nuit J'imagine tellement de choses de toi C'est peut-être toi que je suis des fois J'imagine un nid de récits de mots tristes J'imagine un lit, une insomnie complice J'imagine une moi qui se noie dans tes vices Sans foi ni loi dans les mailles je me glisse J'imagine un homme une femme une nourrice Qui ne voit qu'un clone de moi dans mes disques Un gros tintamarre dans mon âme novice Je vais rentrer tard car je ne vois plus les risques Stp donne-moi ton cœur Donne-moi ce que tu es Ce que tu es Dis-moi tes peurs Dis-moi qui tu es Qui tu es J'veux revoir le monde de l'autre fois Celui que le monde ne connaît pas J'veux revoir l'ombre de l'autre toi Celui que le monde ne connaît pas J'veux revoir le monde de l'autre fois Celui que le monde ne connaît pas J'veux revoir en toi tout ce que je ne suis pas Dis-moi qui tu aimes et surtout Stp donne-moi ton coeur Donne-moi ce que tu es Ce que tu es Dis-moi tes peurs Dis-moi qui tu es Qui stp donne-moi ton cœur Donne-moi ce que tu es Ce que tu es Dis-moi tes peurs Dis-moi qui tu es Qui tu es
A faire pâlir tous les Marquis de Sade A faire rougir les putains de la rade A faire crier grâce à tous les échos A faire trembler les murs de Jéricho Je vais t'aimer A faire flamber des enfers dans tes yeux A faire jurer tous les tonnerres de Dieu A faire dresser tes seins et tous les Saints A faire prier et supplier nos mains Je vais t'aimer Je vais t'aimer comme on ne t'a jamais aimée Je vais t'aimer Plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer Je vais t'aimer Comme personne n'a osé t'aimer Je vais t'aimer Comme j'aurai tellement aimé être aimé Je vais t'aimer. Je vais t'aimer A faire vieillir, à faire blanchir la nuit A faire brûler la lumière jusqu'au jour A la passion et jusqu'à la folie Je vais t'aimer, je vais t'aimer d'amour A faire cerner à faire fermer nos yeux A faire souffrir à faire mourir nos corps A faire voler nos âmes aux septièmes cieux A se croire morts et faire l'amour encore Je vais t'aimer Je vais t'aimer comme on ne t'a jamais aimée Je vais t'aimer Plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer Je vais t'aimer Comme personne n'a osé t'aimer Je vais t'aimer Comme j'aurai tellement aimé être aimé Je vais t'aimer. Je vais t'aimer
J'en connais qui tournent en rond Ou qui longent les murs en comptant les saisons J'en ai vus des dépourvus Des nouveaux départs qui nous mènent nulle part Des guerriers à la télé, Des héros dans ma salle à manger J'en ai lu des histoires vraies Mais la question que j'me pose Sans cesse: Où j'pourrais trouver
Tu vois c'est tellement mieux Quand on est sûr de soi Que l'on porte au bout des doigts De la force et l'espoir D'aller chercher plus loin en n'ayant peur de rien De sonner à la porte de l'inconnu sans aucune retenue Et parler c'est si léger Mais la question que j'me pose Sans cesse: Où j'pourrais trouver
Quand je vais dans la forêt Que les bras m'en tombent comme le Petit Poucet Des cailloux j'en ai trouvés Mais la question que j'me pose Sans cesse: Où j'pourrais trouver
J'ai encore pleuré deux heures Sur ta boîte de petits beurres La fameuse avec les lettres New Hampshire Ton voyage en amoureux Avec Adèle de Bayeux Je trouve son nom ridicule On dirait une marque de pull Elle voudrait me rencontrer Nous avoir pour déjeuner C'est sûr elle va m'adorer Et elle a tellement insisté Oh oui mais je suis jalouse Oui c'est ça tout simplement jalouse Je suis jalouse Je mange toute seule au chinois C'est pratique c'est juste en bas Je t'ai laissé y aller tout seul Maintenant je m'en mords les doigts Tu m'as dit c'est trop dommage Elle fait si bien la cuisine Je lui ferai bien mon potage À la nitroglycérine La bile et le glutamax Se chamaillent dans ma rate Je me dis ça à chaque fois Je ne mangerais plus chinois Oh oui je suis jalouse Oui c'est ça tout simplement jalouse Je suis jalouse Ton Adèle veut te revoir Elle est libre plutôt le soir Te parler de temps en temps Sourions, serrons les dents C'est vrai c'est assez normal J'n'y vois pas d'inconvenient Je n'vais pas faire un scandale Pour vous deux c'est important mais c'est l'art de ma jalousie De ne pas savoir te dire Oui ça me fai un peu bizare Que vous vouliez vous revoir Et oui c'est ca tout simplement jalouse Oh oui je suis jalouse Oui c'est ca tout simplement jalouse Je suis jalouse
Inscrivez-vous pour profiter des tickets VIP.
Ces tickets VIP vous permettent de regarder des contenus VIP (vidéos) du modèle de votre choix. Connectez-vous sur la page profil d'un modèle pour voir ses contenus médias ou découvrez les nouveaux contenus VIP dans les rubriques "photos" ou "vidéos".
A l'inscription, dès que vous validez votre adresse e-mail, nous vous offrons une vidéo VIP.
Vous pouvez également avoir des vidéos VIP gratuites lorsque vous choisissez des méthodes de paiement "BEST VALUE".