Je suis une femme douce et sensuelle, j'aime te provoquer avec mon corps délicieux, je suis sûr que tu deviendras fou avec mes mouvements, mes yeux fixés sur toi seront ta perte
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Je suis très heureux que tu sois intéressé par moi, l'idéal est que tu puisses tomber amoureux, je veux que tu sois très heureux.
Je suis très heureux que tu t’intéresses à moi, l’idéal est que tu puisses tomber amoureux, je prévois que tu sois très heureux
Je suis très heureux que vous soyez intéressé par moi, l'idéal est que vous puissiez tomber amoureux, je prévois pour vous d'être très heureux
Un mystère brûle dans tes yeux, vierge équivoque et compagne. Je ne sais pas si c'est de la haine ou de l'amour, la lumière inoubliable de ton allié noir. Tu m'accompagneras pendant que mon corps projettera son ombre et que je serai dans l'arène de mes sandales. - Tu es la soif ou l'eau sur mon chemin? - Je vous en prie, vous êtes une sorcière..
Un mystère brûle dans tes yeux, vierge insaisissable et compagne. Je ne sais pas si le feu est la haine ou l'amour inépuisable de votre allié noir. Tu viendras avec moi tant que je jetterai une ombre sur mon corps et que je laisserai mes sandales. - Vous avez soif ou vous êtes en train de boire? - Dis-moi, ma compagne et ma vierge.
Un mystère brûle dans tes yeux, vierge insaisissable et compagnon. Je ne sais pas si le feu est la haine ou l'amour inexhaustible de votre allié noir. Tu viendras avec moi jusqu'à ce que je projette une ombre sur mon corps et que je retire mes sandales. - Tu as soif d'eau sur mon chemin? - Dis-moi, vierge et compagne Insaisissable.
Si tu m'aimes, aime-moi tout entier, pas par zones de lumière ou d'ombre... si tu m'aimes, aime-moi noir et blanc, et gris, vert, et blond, et brun... aime-moi jour, aime-moi nuit... et au crépuscule dans la fenêtre ouverte! Si tu m'aimes, ne me coupe pas, aime-moi tout entier ou ne m'aime pas.
Si tu m'aimes, aime-moi tout entier, pas par zones de lumière ou d'ombre. Si tu m'aimes, aime-moi noir et blanc, et gris, vert et blond, et brune… Aime-moi jour, aime-moi la nuit. Et tôt le matin à la fenêtre ouverte! … Si tu m'aimes, ne me coupe pas la parole: Aimez-moi tous. Ou ne m'aimez pas.
Si tu m'aimes, aime-moi dans mon intégralité, pas par zones de lumière ou d'ombre. Si tu m'aimes, aime-moi noir et blanc, et gris, vert, et blond, et brune... aime-moi le jour, aime-moi la nuit. Et tôt le matin à la fenêtre ouverte! Si tu m'aimes, ne me coupe pas la route. Ou ne m'aime pas.
Parfois, j’ai envie d’être ringard en disant : je t’aime à la folie. Parfois, j’ai envie d’être bête de crier : je l’aime tellement ! Parfois, j’ai envie d’être un enfant pour pleurer recroquevillé sur son sein. Parfois, j’ai l’impression d’être morte de sentir, sous la terre humide de mon jus, qu’une fleur pousse en me brisant la poitrine, une fleur, et de dire : Cette fleur, pour toi.
Parfois, j'ai envie de dire: "Je t'aime à en mourir". Parfois, j'ai envie d'être stupide et de crier: "Je l'aime tellement!" Parfois, j'ai envie d'être une enfant pour pleurer enveloppée dans son sein. Parfois, j'ai l'impression d'être morte pour sentir, sous la terre humide de mes jus, qu'une fleur pousse brisant ma poitrine, une fleur, et dire:.
Parfois j'ai l'impression d'être en colère de dire: je t'aime à la folie. Parfois j'ai l'impression d'être stupide en criant: je l'aime tellement! Parfois j'ai l'impression d'être un enfant pleurer recroquevillée dans son sein. Parfois j'ai l'impression d'être mort sentir, sous la terre humide de mon jus, qu'une fleur me pousse briser la poitrine, une fleur, et dis: Cette fleur, pour toi.
Je t'offre parmi les grappes, les gazes vertes et les roses, mon cœur naïf qui à ta bonté s'humilie; ne veux pas le déchirer tes mains aimantes, tes yeux se réjouissent de mon simple don. Dans le jardin ombragé mon corps fatigué auras du matin couvert de rosée; comme dans la paix d'un rêve il glisse à côté de toi le fugitif instantané que repos désir.
Je vous propose parmi les raisins, les branches vertes et les roses, mon cœur naïf qui s'humilie devant votre bonté; vos mains aimantes ne veulent pas le détruire, vos yeux se réjouissent de mon simple cadeau. Dans le jardin ombragé mon corps fatigué Les auras du matin couvertes de rosée Comme dans la paix d'un rêve je glisse à tes côtés Le moment fugitif où j'aspire à me reposer.
Je t'offre, parmi les grappes, les feuilles vertes et les roses, mon cœur naïf qui s'humilie devant ta bonté, tes mains aimantes ne veulent pas le détruire, tes yeux se réjouissent de mon simple don. Dans le jardin ombragé mon corps fatigué les auras du matin couvertes de rosée comme dans la paix d'un rêve je glisse à côté de toi le moment fugitif que je désire reposer.
Je suis votre esclave.. Je vous en prie!. Je suis esclave! Je suis avec toi le soir le plus vaste de mon ciel, et en lui débute mon âme comme une étoile froide. Quand tu t'éloignes, tu reviens à mes pas. Mon propre fouet tombe sur ma vie. Tu es ce qui est à l'intérieur de moi et qui est loin. Huyendo comme un chœur de brumes poursuivies. À côté de moi, mais où? Loin, ce qui est loin. Je suis loin sous mes pieds. L' écho de la voix au-delà du silence. Et ce qui est dans mon âme grandit comme le moustique dans les ruines.
Mon esclave, crains-moi. Aimez-moi. Mon esclave ! Je suis avec toi le plus vaste coucher de soleil de mon ciel, et en lui mon âme brille comme une étoile froide. Quand ils s’éloignent de toi, mes pas reviennent vers moi. Mon propre fouet tombe sur ma vie. Tu es ce qui est à l’intérieur de moi et qui est loin. Fuyant comme un chœur de brumes chassées. À côté de moi, mais où ? Loin, ce qui est loin. Et qui, étant loin sous mes pieds, marche. L’écho de la voix au-delà du silence. Et ce qui pousse dans mon âme comme la mousse dans les ruines.
Mon esclave, crains-moi. Je t'aime. Mon esclave ! Je suis avec toi le plus vaste coucher de soleil de mon ciel, et en elle mon âme brille comme une étoile froide. Quand ils s’éloignent de toi, mes pas reviennent vers moi. Mon propre fouet tombe sur ma vie. Tu es ce qui est en moi et qui est loin. Fuyant comme un chœur de brumes chassées. À côté de moi, mais où? Loin, ce qui est loin. Et quoi, étant loin sous mes pieds, marche. L’écho de la voix au-delà du silence. Et ce qui pousse dans mon âme comme de la mousse en ruines.
Si tu me veux, tu me veux tout entier, sans zones de lumière ni d'ombre... si tu me veux, tu me veux noir et blanc, gris, vert, blond, et brun... tu me veux jour, tu me veux nuit... et au petit matin dans la fenêtre ouverte! Si tu me veux, ne me coupe pas: ... O non moi quieras
Si tu m'aimes, aime-moi tout entier, pas par zones de lumière ou d'ombre. Si tu m'aimes, aime-moi noir et blanc, et gris, vert et blond, et brun... aime-moi le jour, aime-moi la nuit. Et tôt le matin à la fenêtre ouverte! Si tu m'aimes, ne me coupe pas la parole: Aimez-moi tous! Vous m'aimez pas?
Si je veux, je veux tout, pas de zones de lumière ou d'obscurité... si je veux, je veux noir et blanc, gris et vert, rouge et brun... je veux le jour, je veux la nuit... et le matin, la fenêtre est ouverte! Si vous me le demandez, ne me le demandez pas: ... Oh non moi quieras
Mon amour et toi nous ferons passer trois cents nuits comme trois cents murs et la mer sera une magie entre nous. Il n'y aura pas de souvenirs. Des soirées méritées par la peine, des nuits d'espoir de te regarder, champs de mon chemin, firmament que je vois et que je perds. Comme un marbre, tu seras triste d'être absent dans la nuit..
Entre mon amour et moi, il faut qu’ils s’élèvent trois cents nuits comme trois cents murs, et la mer sera magique entre nous. Il n’y aura que des souvenirs. Oh les après-midi qui en valent la peine, les nuits pleines d’espoir à te regarder, les champs de mon chemin, le firmament de ce que je vois et de ce que je perds. Définitif comme une bille Ton absence attristera d’autres après-midi.
Entre mon amour et moi, ils doivent se lever trois cents nuits comme trois cents murs et la mer sera magique entre nous. Il n'y aura que des souvenirs. Les après-midi en valent la peine, les nuits pleines d'espoir à te regarder, champs de mon chemin, firmament ce que je vois et ce que je perds. Définitif comme une facture Votre absence attristera les autres après-midi.
Je veux pleurer parce que je t'ai trop aimé, je veux mourir parce que tu m'as donné la vie, ô mon amour, est-ce que je n'aurai jamais la paix? Tout ce qui est en moi veut dire que je te manque. Je ne sais pas ce qui va m'arriver, mais tout me dit que l'amour sera ma fin. Que de désespoir l'amour apporte, je ne savais pas ce qu'était l'amour, maintenant je sais pourquoi je ne suis pas heureux.
Je veux pleurer parce que je t'ai trop aimé, je veux mourir parce que tu m'as donné la vie, oh, mon amour, n'aurai-je jamais la paix? Tout ce qui est en moi signifie simplement la saudade. Je ne sais même pas ce qui va m'arriver, tout me dit que l'amour sera ma fin. Je ne savais pas ce qu'était l'amour, mais maintenant je sais que je ne suis pas heureuse..
Je veux pleurer parce que je t'aime trop, Je veux mourir parce que tu m'as donné la vie, Oh, mon amour, n'aurai-je jamais la paix? Tout ce qui est en moi signifie juste nostalgie. Je ne sais même pas ce qui m'arrivera, tout me dit que l'amour sera ma fin. Comme l'amour désespéré apporte, je ne savais pas ce qu'était l'amour, maintenant je le sais parce que je ne suis pas content.
Tu m’as et je suis à toi. si proches les uns des autres comme de la viande avec des os. si proches les uns des autres et, souvent, si loin ! ... Tu me dis parfois que tu me trouves fermé, Comme fait de pierre dure, comme enveloppé de secrets, impassible, distant. Et tu voudrais le tien la clé du mystère. Si personne ne l’a. Il n’y a pas de clé. Pas même moi, Je ne l’ai même pas moi-même !
Je suis comme toi. Ils sont aussi proches l'un de l'autre que la chair des os. Tant près l'un de l'autre et souvent si loin! Tu me dis parfois que je me trouve enfermée, comme de pierre dure, enveloppée de secrets, impassible, éloignée... et tu voudrais avoir la clé du mystère... si personne ne la tient... pas de clé. Je ne suis pas moi-même, je ne suis pas moi-même!
Vous m'avez et je suis à vous. si proches l'un de l'autre comme de la viande à partir d'os. si proches et souvent si éloignés! ... tu me dis parfois que tu me trouves fermé, comme fait de pierre dure, comme enveloppé de secrets, impassible, éloigné. Et vous voulez la clé du mystère. Si personne ne l'a. Il n'y a pas de clé. Je ne le suis même pas!
Le soleil peut être noirci pour toujours, la mer peut sécher en un instant, l'axe de la terre peut se briser comme un cristal fragile. Tout va bien se passer! La mort peut me couvrir de son crayon funèbre, mais jamais en moi ne peut s'éteindre la flamme de ton amour..
Le soleil peut être nuageux pour toujours, la mer peut sécher en un instant, l'axe de la terre pourrait se briser comme un verre faible. Tout va arriver! Que la mort me couvre de ta crêpe funéraire, mais elle ne peut jamais s'éteindre en moi, la flamme de ton amour..
Le soleil peut s'obscurcir pour toujours, la mer peut s'assécher en un instant, l'axe de la terre pourrait se briser comme un verre faible. Tout arrive! Que la mort me couvre de ta crêpe funéraire, mais cela ne pourra jamais s'éteindre en moi La flamme de ton amour.
Je connais un hymne étrange et géant qui annonce dans la nuit de l'âme une aurore, et ces pages sont de cet hymne cadencé que l'air dilate dans les ombres. Je voudrais vous écrire, de l'homme qui demande le rebelle, dans un langage méchant, avec des mots qui ressemblent à un temps de soupirs et de rires, de couleurs et de notes. Mais en vain est la lutte, qu'aucun chiffre ne peut l'enfermer; et à peine, oh, belle! Oui, en tenant dans mes mains tes mains, je pourrais, à l'oreille, te chanter à toi seul.
Je connais un hymne géant et étrange qui annonce un aube dans la nuit de l'âme, et ces pages sont de cet hymne cadence que l'air se dilate dans l'ombre. Je voudrais t'écrire à propos de l'homme qui apprécie le langage rebelle et mesquin, avec des mots qui étaient en même temps soupirs et rires, couleurs et notes. Mais c'est en vain de se battre, il n'y a pas de chiffre capable de l'enfermer; et juste, oh, magnifique! Je peux te chanter à ton oreille.
Je connais un hymne géant et étrange qui annonce l'aube dans la nuit de l'âme, et ces pages sont de ce hymne cadence que l'air se dilate dans les ombres. Je voudrais vous écrire sur l'homme qui dompte le langage rebelle et mesquin, avec des mots qui étaient en même temps soupirs et rires, couleurs et notes. Mais c'est en vain de se battre, il n'y a pas de figure capable de l'enfermer; et juste, oh, beau! Oui, en tenant la tienne dans mes mains, je pourrais, dans ton oreille, te la chanter seule.
Amor de mis entrañas, viva muerte, en vano espero tu palabra escrita y pienso, con la flor que se marchita, que si vivo sin mí quiero perderte. El aire es inmortel. La piedra inerte ni conoce la sombra ni la evita. Corazón interior no necesita la miel helada que la luna vierte.
Amour de mes reins, mort vivante, j'attends en vain ta parole écrite et je pense, avec la fleur qui se fane, que si je vis sans moi je veux te perdre. L'air est immortel. Il ne connaît pas l'ombre et ne l'évite pas. Le cœur n' a pas besoin du miel gelé que la lune verse.
Amour de mes reins, mort vivante, j'attends en vain ta parole écrite et je pense, avec la fleur qui se fane, que si je vis sans moi, je veux te perdre. L'air est immortel. La pierre inerte ne connaît pas l'ombre et ne l'évite pas. Le cœur intérieur n'a pas besoin du miel glacé qui verse la lune.
Quand tu aimes, si tu n'as pas aimé, tu sauras que dans ce monde, la plus grande et la plus profonde douleur est d'être heureux et malheureux. Corollaire: l'amour est un abîme de lumière et d'ombre, de poésie et de prose, et où l'on fait la chose la plus chère qui soit de rire et de pleurer en même temps. Le pire, le plus terrible, c'est que vivre sans lui est impossible..
Quand tu parviens à aimer, si tu n’as pas aimé, tu le sauras dans ce monde C’est la douleur la plus grande et la plus profonde être à la fois heureux et malheureux. Corollaire : l’amour est un abîme de lumière et d’ombre, de poésie et de prose, et où se fait la chose la plus chère qui rit et pleure en même temps. Le pire, le plus terrible, c’est que vivre sans cela est impossible.
Quand vous en viendrez à aimer, si vous n’avez pas aimé, vous saurez que dans ce monde, c’est la douleur la plus grande et la plus profonde d’être à la fois heureux et malheureux. Corollaire : l’amour est un abîme d’ombre et de lumière, de poésie et de prose, et où l’on fait ce qu’il y a de plus coûteux à rire, c’est-à-dire pleurer et rire en même temps. Le pire, le plus terrible, c’est qu’il est impossible de s’en passer.
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