NatallyCooper

Tes mains sur ma peau dessinent des orages, chaque frisson devient un éclair, chaque baiser, une pluie brûlante. Je me perds dans ce ciel interdit où nos corps 

inventent la tempête.

Ton souffle est une rivière secrète qui glisse sur mes nuits affamées. Dans la chaleur de ton murmure, je bois le vin de ton désir, et je m’enivre de ta fièvre douce.

Tes lèvres m’enchaînent à un vertige tendre, tes regards ouvrent des portes interdites. Sous ta caresse, le monde disparaît, et il ne reste que nous, perdus dans l’éternité d’un instant.

Ta voix est une flamme qui m’habille, tes mots sont des caresses invisibles. Chaque soupir devient une prière, chaque geste, une offrande. Dans ce temple secret, nos corps prient le même dieu.

Dans le silence de ta peau, mes mains découvrent un langage ancien. Chaque courbe devient une phrase, chaque soupir une ponctuation. Ton corps est un livre interdit que je dévore dans la fièvre de la nuit.

Tes baisers sont des orages doux, ils éclatent sur mes lèvres assoiffées. Ta langue trace des éclairs de feu, et dans cette pluie ardente, je me noie avec volupté.

La nuit s’ouvre comme un secret lorsque ton corps s’allonge contre le mien. Chaque frisson devient un voyage, chaque souffle une confession. Et dans l’obscurité, nos âmes s’embrassent autant que nos chairs..

Ton regard est une flèche de velours, il perce mes défenses et me dépouille. Sous la douceur de ton sourire, je deviens prisonnier heureux, enchaîné au désir qui nous consume.

Sous la caresse de tes doigts, ma peau s’ouvre comme une fleur nocturne. Chaque geste devient un parfum, chaque frisson une brûlure douce. Et je m’abandonne à toi, comme la lune s’offre à la nuit. 

Tes soupirs se glissent en moi comme une pluie tiède sur une terre assoiffée. Chaque mot que tu murmures est une étincelle dans mon sang. Ton désir devient le mien, et je brûle dans ton feu secret.

Ton corps contre le mien est un poème sans fin, où les vers se mêlent aux baisers, où les rimes s’écrivent dans la sueur. Et dans cette danse insatiable, nos âmes trouvent leur langage.

Quand ta bouche effleure la mienne, le monde s’efface dans un vertige tendre. Il ne reste que nos souffles emmêlés, nos cœurs qui frappent la même cadence. Et chaque instant devient éternité dans la brûlure de ton étreinte.