I am very excited to be here and want to fulfill all your fantasies. I am a woman with suckable tits and a firm and delicious ass. May my page be your place of safety where you can explore your sexual animal side.
Contenido Multimedia.
Ya no tienes suficientes créditos en tu cuenta
Usted dispone de : 0,00 US$
MiaTaylior aún no ha completado su horario de presencia en línea
MiaTaylior no está en línea desde hace un cierto tiempo y no podemos proponer un planning de presencia fiable.
Plongé dans l'obscurité de ma chambre, je me retrouve dans un monde où les ombres dansent au rythme de mes fantasmes les plus intimes. Dans mon univers secret, les frontières s'estompent et les souhaits se réalisent rien qu'en fermant les yeux. Mes rêves les plus profonds sont tissés de fils de soie et de mystère, où passion et dévouement s'entrelacent dans une danse éthérée. Mon esprit glisse dans les ruelles pavées de Paris, où l'arôme du café et le parfum de l'amour imprègnent l'air. Dans ce scénario, mon amant idéal est un homme mûr, d'origine française, dont les yeux reflètent des années d'expérience et la promesse d'un plaisir illimité. Mes fétiches sont comme des étoiles filantes dans le vaste firmament de mon imagination, brillant d'une lumière qui leur est propre et m'attirant par leur magnétisme irrésistible. J'aspire à être dominée avec délicatesse, à m'abandonner complètement aux caprices d'un amant qui connaît l'art de séduire par les mots et les gestes. L'idée d'être attachée avec des cordes de soie douces pendant que ses lèvres explorent chaque recoin de ma peau me fait frissonner de plaisir anticipé.
La soie devient ma complice, caressant mon corps avec une douceur exquise pendant que je m'immerge dans un océan de sensations. Je ferme les yeux et je peux le sentir, sa présence proche, son souffle chaud caressant mon cou, ses mains expertes traçant les chemins du désir sur ma peau brûlante. Mes sens sont exacerbés, chaque contact, chaque murmure alimentant le feu qui brûle en moi. La soumission devient ma libération, un acte d'abandon qui me permet d'explorer les limites de ma propre sensualité. Entre les mains de mon amoureux français, je trouve la liberté d'être qui je suis vraiment, sans peurs ni inhibitions. La confiance qui naît entre nous est comme un lien invisible qui nous unit dans un lien de passion et de complicité. Mes fantasmes m'emmènent dans des lieux inexplorés, où le plaisir devient un torrent qui emporte tout sur son passage. Je m'abandonne sans réserve, laissant le désir guider mes pas vers un abîme d'extase. Dans ce monde d’ombres et de murmures, je suis libre d’explorer tous mes désirs les plus profonds, sans jugement ni préjugés. Au final, peu importe l’âge ou l’origine, ce qui compte vraiment c’est la connexion qui naît entre deux âmes ardentes en quête de satisfaction. Dans l'extase de l'abandon, je retrouve ma véritable essence, une femme passionnée et libre, prête à explorer les limites du plaisir avec mon amant français, dans une danse éternelle de séduction et de désir
Au plus profond de mon sanctuaire intime, mes fantasmes érotiques s'entremêlent aux secrets les plus sombres de mon être. Je suis Carolina, une jeune fille de 19 ans d'origine colombienne, dont l'esprit fougueux aspire à explorer les limites du plaisir et de la sensualité. Au-delà de la surface de ma peau brune se trouve un monde de désirs interdits et d'envies indescriptibles qui aspirent à être libérées. Mes goûts érotiques sont aussi variés que l'arc-en-ciel des passions qui colorent mon univers intérieur. De la douceur de la soie à la fermeté des chaînes, je trouve plaisir dans la diversité des sensations qu'offre le monde sensuel. J'aime expérimenter une domination douce, m'abandonnant aux caprices d'un amoureux qui sait réveiller chaque fibre de mon être d'un simple geste ou d'un regard intense. L’idée d’être doucement maîtrisé réveille mon côté le plus sauvage, libérant une cascade d’émotions et de désirs refoulés qui aspirent à être libérés. Mes mains aspirent à explorer chaque recoin de la peau de mon amant, découvrant ses secrets les plus intimes avec une dévotion presque religieuse
Les jeux de rôle me fascinent, me permettant de m'immerger dans des personnages et des décors qui stimulent mon imagination et attisent les feux de la passion. Mais tout n’est pas noir dans mon monde érotique ; Il y a aussi place à la tendresse et à la complicité. J'apprécie les moments d'intimité partagée, où la connexion émotionnelle se confond avec la passion physique dans une danse harmonieuse des corps et des âmes. De doux baisers et des étreintes passionnées sont le prélude parfait à une nuit d'extase débridée, où chaque soupir est un gémissement de plaisir et chaque caresse est une promesse de plus à venir. Explorer mon propre corps est un voyage de découverte de soi et de plaisir, où chaque courbe et chaque centimètre de peau est un territoire à explorer. J'aime expérimenter avec les jouets érotiques, découvrir de nouvelles façons d'atteindre l'orgasme et repousser les limites de ma propre sensualité
La masturbation devient un rituel sacré, un moment de connexion intime avec mon propre désir et ma propre convoitise. Entre les mains d'un amant talentueux, je trouve la liberté d'être qui je suis vraiment, sans peurs ni inhibitions. La confiance qui naît entre nous est comme une rivière de feu qui brûle d’une passion inextinguible, nous emmenant vers des lieux d’extase qui n’existent que dans nos rêves les plus fous. Dans l'obscurité de la nuit, nous sommes deux âmes perdues dans un océan de désir, naviguant ensemble vers la terre promise du plaisir suprême. En fin de compte, mes goûts érotiques ne sont qu’une partie de qui je suis, une expression de mon désir le plus profond de connexion et de satisfaction. Entre les mains d'un amant prêt à explorer les limites du plaisir avec moi, je suis libre d'être qui je suis vraiment, sans crainte de jugement ou de censure. Dans ce monde d'ombres et de murmures, je suis une déesse du désir, prête à être adorée et vénérée par ceux qui osent défier avec moi les limites de la passion et de la sensualité
Au fond de mon sanctuaire secret, mes fantasmes les plus intimes se mêlent aux mystères les plus sombres de mon être. Je suis Carolina, une jeune fille de 19 ans d'origine colombienne, dont l'esprit ardent aspire à explorer les recoins les plus intimes du plaisir et de la sensualité. Au-delà de la surface de ma peau brune se trouve un univers de désirs et d’envies qui n’attendent que de se déchaîner. Bien que mes goûts soient variés et exploratoires, il y a des choses qui ne m'attirent pas mais qui n'affectent pas ma passion pour l'érotisme et la sensualité. Je ne suis pas fan des environnements bruyants et animés, je préfère l'intimité d'un espace calme où je peux me plonger pleinement dans l'exploration de mes fantasmes les plus fous. Je n'aime pas non plus le manque d'hygiène ou la négligence dans l'apparence personnelle, car je considère que prendre soin de soi est essentiel pour cultiver une connexion intime et sensuelle avec mon amoureux
Dans le domaine érotique, je ne suis pas attiré par les pratiques qui impliquent des douleurs physiques ou des humiliations, car pour moi la sensualité et l'érotisme sont intrinsèquement liés au plaisir et au respect mutuels. Je préfère explorer les limites du plaisir de manière consensuelle et en tenant compte des besoins et désirs des deux participants. Malgré ces préférences, mon monde érotique reste un espace d'exploration et de découverte, où passion et désir s'entrelacent dans une danse éternelle de séduction et de plaisir. Entre les mains d'un amant prêt à explorer les limites du plaisir avec moi, je suis libre d'être qui je suis vraiment, sans crainte de jugement ou de censure. Dans ce monde d'ombres et de murmures, je suis une déesse du désir, prête à être adorée et vénérée par ceux qui osent défier avec moi les limites de la passion et de la sensualité
Dans mon sanctuaire du savoir, où les pages des livres dansent au rythme de mon esprit curieux, je retrouve des racines colombiennes, dont la soif de connaissances est aussi insatiable que leur désir de plaisir. Au-delà de la beauté de ma peau cannelle et de la passion qui brûle dans mes yeux, se trouve un monde d'idées et de pensées qui demandent à être explorées. Mon amour de la lecture et de l’apprentissage m’emmène dans des endroits lointains et des époques oubliées, où chaque mot est un trésor à découvrir. J'apprécie les conversations profondes et significatives, où les idées circulent librement et où les esprits se rencontrent dans un jeu d'esprit et de perspicacité. Les livres sont mon refuge, mon compagnon constant dans cette recherche sans fin de connaissance et de compréhension
Lunes, ivoires, instruments, roses, les lampes et la ligne Dürer, les neuf chiffres et le zéro changeant, Je dois faire comme si ces choses existaient. Je dois prétendre que dans le passé ils l'étaient Persépolis et Rome et qu'une arène mesuré subtilement le sort du créneau que les siècles de fer ont détruit. Je dois faire semblant des armes et du bûcher de l'épopée et de la mer agitée qui ronge les piliers de la terre. Je dois faire comme s'il y en avait d'autres. Est un mensonge. Seulement vous l’êtes. Toi, mon malheur et mon bonheur, inépuisable et pur.
Je vous propose parmi les grappes, les segments verts et les roses, Mon cœur naïf qui s'humilie devant ta bonté ; Tes mains aimantes ne veulent pas le détruire, Vos yeux se réjouissent de mon simple cadeau. Dans le jardin ombragé mon corps fatigué Les auras du matin couvertes de rosée ; Comme dans la paix d'un rêve je me glisse à tes côtés Le moment fugitif que j'aspire à me reposer. Quand la tempête divine se calme dans mes tempes, Je m'allongerai, jouant avec tes boucles épaisses, Sur ton sein nubile mon front endormi, Sonnez au rythme de vos derniers baisers.
Quand je suis en disgrâce devant la fortune Et aux yeux des autres, seul mon exilé je pleure, Et je dérange le ciel sourd avec mes cris inutiles Et je me regarde et maudis mon sort, Voulant être riche en espoir, Avec la présence de celui-là, comme celui-là, chez des amis. Désirant le talent d'un homme, le rang d'un autre, Je me contente à peine de ce que j'apprécie le plus. Pendant qu'avec ces pensées je m'épuise Heureusement je pense à toi et puis à mon âme, Comme l'alouette à l'aube, s'envole du morose Terre et chanter des hymnes aux portes du ciel, Car une telle richesse m'apporte ton doux amour ainsi rappelé Alors je refuse de changer d'état auprès des rois.
Oh, comme mon corps s'épanouit, de toutes les veines, avec plus d'arôme, depuis que je t'ai reconnu ! Écoute, je marche plus mince et plus droit, et tu attends... mais qui es-tu ? Regarder; Je sens combien lointain, comment je perds le vieux, feuille après feuille. Seul ton sourire reste comme beaucoup d'étoiles à propos de toi, et bientôt de moi aussi. À tout ce qui a marqué mon enfance sans nom brille toujours, comme l'eau, Je vais donner ton nom sur l'autel c'est sur tes cheveux et entouré, légèrement, de vos seins.
En plus de ma passion pour la littérature, j'ai également un profond intérêt pour les arts et la culture. J'aime visiter les musées et les galeries d'art, où je peux me plonger dans la beauté et la créativité de l'esprit humain. La musique classique est une autre de mes passions, et je peux passer des heures perdue dans les mélodies des grands maîtres, laissant leurs compositions me transporter dans des mondes oniriques. Mon intelligence et ma curiosité sont des aspects fondamentaux de mon être, mais elles ne limitent pas ma capacité à apprécier la sensualité et l'érotisme. Au contraire, je trouve que mon esprit ouvert et réceptif complète parfaitement ma vie érotique, me permettant d'explorer les recoins les plus sombres de mes fantasmes avec un esprit vif et une imagination fertile. Entre les mains d'un amoureux intelligent et cultivé, je retrouve la liberté d'être qui je suis vraiment, sans crainte de jugement ni de censure. La connexion intellectuelle devient le prélude parfait à une nuit de passion débridée, où les esprits se rencontrent et les corps fusionnent dans une extase partagée. Dans ce monde d'ombres et de murmures, je suis une déesse du désir et de la sagesse, prête à être adorée et vénérée par ceux qui osent défier avec moi les limites de la passion et de l'intelligence
Je vous propose parmi les grappes, les segments verts et les roses, Mon cœur naïf qui s'humilie devant ta bonté ; Tes mains aimantes ne veulent pas le détruire, Vos yeux se réjouissent de mon simple cadeau. Dans le jardin ombragé mon corps fatigué Les auras du matin couvertes de rosée ; Comme dans la paix d'un rêve je me glisse à tes côtés Le moment fugitif que j'aspire à me reposer. Quand la tempête divine se calme dans mes tempes, Je m'allongerai, jouant avec tes boucles épaisses, Sur ton sein nubile mon front endormi, Sonnez au rythme de vos derniers baisers
Je connais un hymne géant et étrange qui annonce une aube dans la nuit de l'âme, et ces pages sont de cet hymne cadences que l'air se dilate dans l'ombre. Je voudrais t'écrire à propos de l'homme apprivoiser le langage rebelle et mesquin, avec des mots qui étaient en même temps soupirs et rires, couleurs et notes. Mais c'est en vain de se battre, il n'y a pas de chiffre capable de l'enfermer; et juste, oh, magnifique !, oui, j'ai le tien entre mes mains, Je pourrais, à ton oreille, te le chanter seul
Amour de mes reins, mort vivante, J'attends en vain ton mot écrit et je pense, avec la fleur qui se fane, que si je vis sans moi, je veux te perdre. L'air est immortel. La pierre inerte Il ne connaît pas l'ombre et ne l'évite pas. Le cœur intérieur n'a pas besoin le miel glacé que verse la lune. Mais je t'ai souffert. Je me suis déchiré les veines, tigre et colombe, sur ta taille dans un duel de morsures et de lys. Alors remplis ma folie de mots ou laisse-moi vivre dans ma sérénité nuit de l'âme toujours sombre
Femme, j'aurais été ton fils, pour t'avoir bu le lait des seins comme d'une source, de te regarder et de te sentir à mes côtés et de t'avoir dans le rire doré et la voix de cristal. De te sentir dans mes veines comme Dieu dans les rivières et je t'adore dans les tristes ossements de la poussière et de la chaux, parce que ton être passera sans douleur à côté de moi et cela est ressorti dans le verset – purifié de tout mal –. Comment saurais-je comment t'aimer, femme, comment saurais-je je t'aime, je t'aime comme personne ne l'a jamais su ! Mourir et encore je t'aime plus. Et encore je t'aime plus et de plus
Mon esclave, crains-moi. Aime-moi. Mon esclave! Je suis avec toi le plus vaste coucher de soleil de mon ciel, et en elle mon âme brille comme une étoile froide. Quand ils s'éloignent de toi, mes pas reviennent vers moi. Mon propre fouet tombe sur ma vie. Tu es ce qui est en moi et qui est loin. Fuyant comme un chœur de brumes chassées. A côté de moi, mais où ? Loin, ce qui est loin. Et quoi, étant loin sous mes pieds, marche. L'écho de la voix au-delà du silence. Et ce qui pousse dans mon âme comme de la mousse en ruines
Il y a des yeux qui regardent, il y a des yeux qui rêvent, il y a des yeux qui appellent, il y a des yeux qui attendent, il y a des yeux qui rient - un rire agréable, Il y a des yeux qui pleurent - avec des larmes de chagrin, certains vers l'intérieur, d'autres vers l'extérieur. Ils sont comme les fleurs que pousse la terre. Mais tes yeux verts, mon éternelle Teresa, ceux qui fabriquent - ta main d'herbe, Ils me regardent, ils rêvent de moi, ils m'appellent, ils m'attendent, ils se moquent de moi - un rire agréable, Ils me pleurent en larmes - avec des larmes de chagrin, de l'intérieur, -de l'extérieur. Dans tes yeux je suis né, tes yeux me créent, Je vis dans tes yeux - le soleil de ma sphère, Dans tes yeux je meurs, ma maison et mon trottoir, tes yeux ma tombe, tes yeux ma terre
Flétri les jeunes fleurs, trouble le soleil de mon espérance, heure après heure je compte et mon agonie Ils grandissent ainsi que mon anxiété et ma douleur. Sur des couleurs riches en verre lisse peut-être que mon fantasme a l'air heureux, quand la triste réalité Il tache le verre et obscurcit son éclat. Je tourne les yeux dans leur désir incessant, et le monde tourne indifféremment, et le ciel tourne indifféremment. A toi les plaintes de mon mal profond, belle sans chance, je t'envoie : mes vers sont ton cœur et le mien
Mon amour est dans une tenue légère Parmi les pommiers, Où les brises animées durent le plus longtemps Courez en compagnie. Là où les brises joviales habitent pour courtiser Aux premières feuilles sur son passage, Mon amour va lentement, se penchant Vers son ombre qui repose dans l'herbe. Et où le ciel est une coupe d'un bleu clair Sur la terre souriante, Mon amour marche lentement, soulevant Sa robe à la main gracieuse
Tu viendras nu à bras ouverts Je poserai ma tête sur tes seins Tu diras les mots que j'espère Je chanterai de doux chants funèbres Tu promets des mers, des vallées et des sommets de montagnes Je serai le père de tes enfants Tu brilleras comme l'éclair je deviendrai une star Tu seras ma copine, plus jolie que toutes les copines Je chanterai des chansons de Jorge Ben tu auras les cheveux longs je vais tresser le mien Vous voudrez une maison à la campagne Je vais construire une cabane au bord de la rivière Vous vous habillerez parfois de toutes les couleurs de l'Iris Je vous aimerai toujours tu voudras des fleurs J'ai un cheval, une guitare Et nous ne travaillerons jamais, au grand jamais
Je t'aime... et tu déplaces le temps de ma vie sans heures. Je t'aime Dans les ruisseaux pâles qui voyagent dans la nuit, et ne finit jamais de chasser les étoiles vers la mer. Je t'aime ce matin détaché de la fuite des siècles qui a fui son bateau blanc vers l'eau sans vagues où ta voix et ma chanson nageaient tristement. Je t'aime dans la douleur sans larmes que le sommeil a accumulé tant de nuits dans le ciel investi dans mes pupilles pour te regarder cosmique, dans la voix minée de mon bruit de siècles qui s'effondrent. Je t'aime (cri blanc de la nuit...) dans l'insomnie réflexive d'où mon esprit est revenu dans les oiseaux
J'ai envie de pleurer parce que je t'aimais trop, Je veux mourir parce que tu m'as donné la vie, Oh, mon amour, n'aurai-je jamais la paix ? Est-ce que tout ce qui est en moi Cela signifie juste saudade... Et je ne sais même pas ce qui va m'arriver, tout me dit qu'aimer sera ma fin... Comme l'amour désespéré apporte, Je ne savais pas ce qu'était l'amour, Maintenant, je le sais parce que je ne suis pas content
Tu m'as et je suis à toi. si proches les uns des autres comme de la viande avec des os. si proches les uns des autres et, souvent, si loin !… Tu me dis parfois que tu me trouves fermé, Comme fait de pierre dure, comme enveloppé de secrets, impassible, distant... Et tu voudrais le tien la clé du mystère... Si personne ne l'a... Il n'y a pas de clé. Pas même moi, Je ne l'ai même pas moi-même !
Je connais un hymne géant et étrange qui annonce une aube dans la nuit de l'âme, et ces pages sont de cet hymne cadences que l'air se dilate dans l'ombre. Je voudrais t'écrire à propos de l'homme apprivoiser le langage rebelle et mesquin, avec des mots qui étaient en même temps soupirs et rires, couleurs et notes. Mais c'est en vain de se battre, il n'y a pas de chiffre capable de l'enfermer; et juste, oh, magnifique !, oui, j'ai le tien entre mes mains, Je pourrais, à ton oreille, te le chanter seul.
Je vous propose parmi les grappes, les segments verts et les roses, Mon cœur naïf qui s'humilie devant ta bonté ; Tes mains aimantes ne veulent pas le détruire, Vos yeux se réjouissent de mon simple cadeau. Dans le jardin ombragé mon corps fatigué Les auras du matin couvertes de rosée ; Comme dans la paix d'un rêve je me glisse à tes côtés Le moment fugitif que j'aspire à me reposer. Quand la tempête divine se calme dans mes tempes, Je m'allongerai, jouant avec tes boucles épaisses, Sur ton sein nubile mon front endormi, Sonnez au rythme de vos derniers baisers.
Je connais un hymne géant et étrange qui annonce une aube dans la nuit de l'âme, et ces pages sont de cet hymne cadences que l'air se dilate dans l'ombre. Je voudrais t'écrire à propos de l'homme apprivoiser le langage rebelle et mesquin, avec des mots qui étaient en même temps soupirs et rires, couleurs et notes. Mais c'est en vain de se battre, il n'y a pas de chiffre capable de l'enfermer; et juste, oh, magnifique !, oui, j'ai le tien entre mes mains, Je pourrais, à ton oreille, te le chanter seul.
Mon esclave, crains-moi. Aime-moi. Mon esclave! Je suis avec toi le plus vaste coucher de soleil de mon ciel, et en elle mon âme brille comme une étoile froide. Quand ils s'éloignent de toi, mes pas reviennent vers moi. Mon propre fouet tombe sur ma vie. Tu es ce qui est en moi et qui est loin. Fuyant comme un chœur de brumes chassées. A côté de moi, mais où ? Loin, ce qui est loin. Et quoi, étant loin sous mes pieds, marche. L'écho de la voix au-delà du silence. Et ce qui pousse dans mon âme comme de la mousse en ruines.
Mon esclave, crains-moi. Aime-moi. Mon esclave! Je suis avec toi le plus vaste coucher de soleil de mon ciel, et en elle mon âme brille comme une étoile froide. Quand ils s'éloignent de toi, mes pas reviennent vers moi. Mon propre fouet tombe sur ma vie. Tu es ce qui est en moi et qui est loin. Fuyant comme un chœur de brumes chassées. A côté de moi, mais où ? Loin, ce qui est loin. Et quoi, étant loin sous mes pieds, marche. L'écho de la voix au-delà du silence. Et ce qui pousse dans mon âme comme de la mousse en ruines.
Je t'aime de toute mon âme et avec tout mon corps, parfois, les après-midi pluvieux. Mais à deux heures de l'après-midi ou à trois heures, quand je Je commence à penser à nous deux, et tu penses au la nourriture ou dans le travail quotidien, ou dans le divertissement que tu n'as pas, je commence à te détester sourdement, avec la moitié de la haine que je garde pour moi. Puis je t'aime à nouveau, quand nous allons nous coucher et Je sens que tu es fait pour moi, que d'une manière ou d'une autre Ton genou et ton ventre me disent que mes mains convainquez-moi, et qu'il n'y a aucun autre endroit dans Où que je vienne, où que j'aille, mieux que toi corps. Tu viens tout entier à ma rencontre, et Nous disparaissons tous les deux un instant, nous entrons dans dans la bouche de Dieu, jusqu'à ce que je te dise que j'ai la faim ou le sommeil. Chaque jour, je t'aime et je te déteste désespérément. Et il y a des jours aussi, il y a des heures, où non Je te connais, dans le sens où tu m'es étranger comme la femme d'un autre, je m'inquiète pour les hommes, je m'inquiète Je suis distrait par mes chagrins. Vous ne pensez probablement pas
Regístrate para aprovechar el token VIP.
Estos tokens VIP te permiten ver los contenidos VIP (vídeos o fotos) del modelo que elijas. Accede a la página de perfil de un modelo para ver su contenido multimedia o descubrir nuevos contenidos VIP en las secciones "fotos" o "vídeos".
Al registrarte, en cuanto valides tu dirección de correo electrónico, te ofreceremos un vídeo VIP.
También puede conseguir vídeos VIP gratuitos si eliges la forma de pago "BEST VALUE".