LucileFoster

Sous le ciel des étoiles, dans un coin de la nuit, ton nom apparaît, Victoria, comme un murmure de nostalgie, Tu es muse et charme, un tourbillon dans l'esprit, avec ces lèvres épaisses qui invitent au désir. Tes yeux, deux émeraudes, vertes comme l'espoir, Ils guident le regard vers un abîme de passion, Ce sont des phares dans l'obscurité, ils scintillent au loin, et dans son éclat mystérieux je trouve la perdition. Victoria, tu es une énigme, entre raison et feu, une femme judicieuse qui garde des secrets brûlants, Dans ton âme, la raison et le jeu coexistent, où la luxure se cache dans les pensées latentes. Ta beauté est une toile qui attire la tentation, et dans chaque geste doux, dans chaque rire sincère, L'innocence se mêle à une touche de provocation, Vous êtes la fleur qui éclaire et en même temps calme la bête. Tes lèvres, Victoria, sont un poème sans mots, une histoire qui raconte l'interdit et le caché, Ils sont le portail des rêves et des nuits enchantées, où le temps s'arrête et où le monde est votre culte. Je pense à toi et je me perds dans cette dualité que tu es, chez la femme qui garde son jugement et le déborde en même temps, un être qui provoque et en même temps préfère, le silence de l'amour, le murmure d'un « peut-être ». Victoria, ton nom résonne dans mes pensées, tu es la fusion parfaite du sublime et du terrestre, un profond soupir, un désir sans regrets, Tu es le destin qui m'emmène au paradis. 

Under the sky of stars, in a rinse of the night, Increase your number, Victoria, like a whisper of longing, You are muse and charm, a whirlpool in the mind, With our lips we invite you to do it. Your eyes, your emeralds, green as hope, They guide the gaze towards an abyss of passion, Their headlights in the dark, hundreds in the distance, and your mysterious shine I find perdition. Victoria, you are an enigma, between reason and fire, a young woman who keeps her burning secrets, In your soul lives sanity and play, where lust is reduced to latent thoughts. Your beauty is a link that reveals temptation, and in every soft gesture, in every sincere laugh, Innocence is mixed with a touch of provocation, You are the flower that lights up and at the same time calms the beast. Your lips, Victoria, is a poem without words, a story that tells the forbidden and the hidden, your portal to dreams and enchanted nights, where time is celebrated and the world is your worship. I think of you and I step into that duality that you are, in the woman who keeps the juice and it overflows at the same time, a being that provokes and at the same time prefers, the silence of love, the whisper of a “maybe”. Victoria, your number resonates in my thoughts, You are the perfect fusion of the sublime and the earthly, a deep suspicion, a desire without remorse, You are the destiny that elevated me to the heavenly. 

Luci, duality flourishes in you, like a rose bush that falls silent at night, your thick lips, flames in the darkness, They provoke sighs, dreams in freedom. Your eyes, two emeralds that bare the soul, green as meadows that are fertilized in the rain, In its depths reason is lost, and desire arises in every heartbeat, on every occasion. Judicious are you, in the light of day, with a clear mind, the precise word, like a lighthouse that guides in the storm, But as night falls, the storm awakens. Lustful, with contained passion, like a river waiting for the flood, in your hands, the fire and the calm, You are heaven and hell in one soul. Your laughter, echo of a furtive desire, that runs through the bodies in a subtle beat, Victory, in you is found peace and torment, reason and the most ardent feeling. In your presence, the world stops, The moon watches you, and is envious, for that mixture of sweetness and fire, that lights hearts without any prayer. Victoria, you are muse, you are art, a divine work in every part, The mystery is hidden in your eyes, of a forbidden love, of an eternal pleasure. Under the moon, under the rising sun, your figure shines, always imposing, Victoria, name of a queen, of a goddess, At your core, lust is beautiful. And in the silence, when the night falls, your name whispers the wind, and the desire does not cease, Well, Victoria, you are the desire, of a heart that is lost in your sky. 

Oh femme aux yeux noirs et à la peau caramel, Vos rêves sont des rivières qui coulent dans le ciel. Tu nous invites à rêver de nuits interdites, vivre l'instant présent, oublier les blessures. Tu es muse, tu es magie, tu es chanson, une symphonie qui réveille le cœur. Tu es plus qu'un corps, plus qu'un visage, Vous êtes un univers qui tire toujours. Et même si le monde s'abandonne à ta beauté, votre vraie joie est votre force. 

Femme latine, feu et passion, La création se trouve dans votre essence. Aujourd'hui je te célèbre en vers et en prose, comme la rose la plus belle et la plus éternelle. Parce que l'art, la vie et l'histoire habitent en vous, parce que dans ta peau et dans tes yeux, la gloire habite.

Ses courbes, ses chemins qui invitent à se perdre, Au rythme du vent, ils semblent bouger.

C'est le feu et l'eau, la tempête et le calme, C'est une poésie vivante qui enflamme l'âme. Danse la nuit, ton ombre est un art, le rythme de son corps, un langage à part. Son rire, un éclair qui traverse l'obscurité, C'est l'étincelle qui enflamme toute réalité. 

Mais au-delà de sa silhouette envoûtante, habite un esprit plein de tendresse. Une femme qui sait être forte et courageuse, qui embrasse ses racines, son héritage latent. Elle porte la chaleur de la terre sur sa peau, le goût du café et la douceur du miel. Le soleil et la lune convergent dans leur essence, Dans son âme émergent les cultures du monde.

Sous la lumière du soleil qui embrasse de son feu, marche une déesse à la peau de cannelle, doux comme le sable au bord de la mer, Sa promenade est une chanson, un poème sans fin. Ses yeux, deux abîmes noirs profonds, Ils parlent sans mots, ils racontent mille mondes. 

Dans son regard, les heures se perdent, onirique, mystérieux, comme les nuits d'aurores. Lèvres rouges, pétales de roses en fleurs, Ils respirent la douceur, les promesses et la fougue. Chaque mot qu'il prononce, un sortilège subtil, sa voix timide et belle, mélodie d'avril. L'air s'arrête, la terre soupire, quand sa silhouette dans la brise se retourne. Corps parfait, sculpture divine, un chef-d'œuvre de la main divine.