Bonjour l’amour, je m’appelle Emma 😈👉👈
🔥La douleur et le plaisir disparaîtront, la soumission restera éternellement dans votre âme.🔥
💗💕💗Mon horaire est du lundi au dimanche de 21h30 à 05h30 Colombie / 01h30 à 10h30 GTM Sauf mardi Col / Mercredi GTM 💗💕💗


💗 Dans la danse de l'aube, sur la toile de l'aube, les formes de ton être jaillissent, ô divine femme. Tu es la muse du soleil, l'essence du désir, la fleur qui se réveille et s'illumine la nuit. Tes courbes sont de douces collines qui invitent au toucher, tes yeux reflètent l'éclat de l'univers, et sur tes lèvres, la promesse d'un baiser éternel, Il glisse, de manière séduisante, comme une rivière immergée💗

💗La chaleur de votre corps et l’éclat de votre regard feraient fondre les deux pôles jusqu’à l’Antarctique lui-même. Tes lèvres sont charnues, tes seins sont beaux, tes cheveux sont si luxuriants, tu me rends fou. Tu es sexy par nature, personne ne peut égaler ta beauté, tu as une vraie grandeur et je n'arrive pas à te sortir de ma tête. Et au rythme de vos talons, vous arrêtez même la circulation alors que de nombreux enfants se giflent. Vous tombez amoureux de n'importe qui, vous n'avez aucune pitié, vous vous fichez de qui c'est, vous le laissez la bouche ouverte. Maintenant que je t'ai rencontré, tu m'as captivé par tes charmes, tu as paralysé mon cœur, tu es propriétaire de tous mes tourments. J'espère juste pouvoir t'aimer, je devrai être un artiste expert car pour avoir affaire à toi il faut être doué pour conquérir.💗


💗Loin de satisfaire mes désirs dans la folie, tu m'aliènes, c'est la torture qui m'étonne, c'est la faim qui me dévore, cellule où je retrouve ton sourire, chasseur d'ombres nostalgique, tu fuis quand tu t'approches, tu t'approches quand tu es en colère, et dans mes baisers fantomatiques roses tu t'abrites, tu t'éclaires seul, et tu voles à mes os de vieil ours en chaleur un câlin et une défaite, l'aumône de baisers creux, des battements de cœur qui s'affolent, rêve du rêve qui arrive vite et me supplie de fondre dans ta bouche espiègle, que je passe à travers toi en cette heure où tu es ma proie et moi ta présence carnivore, ton vorace prédateur de Dieu💗

💗Quand l'été meurt Rompre les liens Je suis avec toi toujours, toujours Allez-vous suivre la ligne ? Mon chemin serpentine Rappelez-vous toujours Cet amour est tout ce dont tu as besoin Dis-moi qui tu veux être Et je te libérerai Il y a une obscurité au cœur de mon amour C'est froid, c'est profond L'obscurité au cœur de mon amour Pour toi Veux-tu renverser le vin Invoquer le divin ? Je suis avec toi toujours, toujours Maintenant, peignez une paire d'yeux Et regardons pendant qu'il sèche Rappelez-vous toujours que l'amour est tout ce dont vous avez besoin Dis-moi qui tu veux être Et je te libérerai Il y a une obscurité au cœur de mon amour C'est froid, c'est profond L'obscurité au cœur de mon amour Si audacieux, si doux💗


💗Du ciel tout est plus beau Laisse-moi t'emmener à nouveau vers les étoiles Comme hier soir Allons sur Mars où personne ne te cherchera Ni toi ni moi Où tout est plus calme et plus solitaire pour nous deux Où il n'y a personne d'autre que toi et moi Laissons la Terre pleine de gens aussi merdiques ça veut nous écraser Partons en voyage vers les étoiles et Mars Pour oublier nos problèmes urgents Contemplons les constellations Et toutes nos visions qui enlèvent le vide Que ressentons-nous sur Terre Prends ma main et sortons d'ici Mets ton pull gris et commençons à nous enfuir Allons sur Mars où personne ne te cherchera Ni toi ni moi Où tout est plus calme et plus solitaire pour nous deux Où il n'y a personne d'autre que toi et moi💗

💗 L'arôme de mille fleurs vit dans ta peau, tes cheveux sont l'ébène qui envie la nuit, et tes mains sont de douces caresses qui caressent, comme une brise qui, au crépuscule, touche un désert. Vous êtes l'incarnation de la beauté naturelle, un poème érotique que la vie a créé, et dans le murmure du vent et le chant des vagues, votre essence s'élève, un secret révélé 💗


💕🌹💗🌹Plongez dans l'atmosphère bohème de Montmartre, le cœur artistique de Paris. Séjournez dans un charmant hôtel de charme au sommet de la colline, d'où vous pourrez profiter de vues panoramiques sur la ville. Explorez les rues étroites et pavées, visitez la célèbre basilique du Sacré-Cœur et laissez-vous séduire par la magie qui a inspiré de grands artistes tels que Picasso et Van Gogh. Profitez de dîners romantiques dans des cafés en terrasse et de spectacles sur des places animées.🌹💕🌹💕

💕🌹💕🌹L'eau tombait en cascade, créant un doux murmure dans la salle de bains. Je suis restée seule sous la douche, laissant les gouttes chaudes caresser ma peau. L'humidité de l'air ajoutait une touche de sensualité à la scène. Je fermai les yeux, laissant la sensation de l'eau m'envahir. Dans mon esprit, des chuchotements de désirs refoulés se mêlaient à la mélodie de la pluie artificielle. Lentement, les mains exploratrices de l'imagination ont caressé mon corps, libérant la passion qui avait été retenue depuis trop longtemps🌹💕🌹💕.


🌹Chaque regard que nous échangions était un soupir retenu, et chaque contact de nos mains était une promesse de désir. Au fil de la nuit, la timidité qui m'enveloppait s'estompait peu à peu, révélant une passion qui ne demandait qu'à être libérée.
Après le dîner, nous avons marché ensemble dans la nuit étoilée, où le désir qui couvait à table s'est transformé en un feu ardent.🌹💗💕🌹

💕💗🌹À la lumière tamisée des bougies, nous nous sommes retrouvés pour un dîner intime. Le restaurant était enveloppé d'une atmosphère romantique, et mon compagnon dégageait une aura qui a allumé une étincelle en moi. Prudents mais impatients, nous avons partagé des rires et des secrets tandis que les saveurs se mêlaient dans l'air.💕💗🌹

💕💗💕Dans une pièce sombre, seules les ombres révélaient mes secrets. J'étais à la limite de la timidité, mais il savait déchiffrer les mystères cachés. Alors que les lumières vacillent, nos corps s'entremêlent dans un jeu d'ombres et de chuchotements. Chaque silhouette racontait une histoire de désir, chaque mouvement un acte d'abandon à une luxure refoulée. Sous l'enchantement des ombres, la timidité s'est estompée, laissant place à une danse sensuelle entre mes pensées les plus sombres et les promesses de la nuit. Je suis restée là, à regarder les ombres danser sur les murs, aspirant à la libération de mes propres désirs captifs.💕💗💕



💕Dans l'agitation de la ville, mes yeux se perdaient dans les ombres du crépuscule lorsqu'il est apparu. Nous nous sommes rencontrés dans un café, où la lumière tamisée créait un halo de mystère. Nos mains se sont frôlées sur la table, une connexion électrique qui a allumé la flamme de ma passion refoulée. Les chuchotements de la ville se sont estompés tandis que nous partagions nos rires et nos secrets. Chaque mot que nous prononcions était une caresse dans mon esprit, et chaque regard, un soupir retenu. La timidité qui m'enveloppait se dissipait peu à peu, révélant la femme lascive qui sommeillait en moi. À la fin de la soirée, le regard intense de ses yeux dansant encore dans mon esprit, j'étais envahi par le désir d'explorer ce que la nuit pouvait offrir.💕💕

💗💗La brise salée caresse la plage au crépuscule. Je marchais pieds nus sur le sable, mes pensées chuchotant des secrets aux vagues. Il est sorti de l'ombre, comme un rêve incarné. Nous nous sommes rencontrés sur le rivage, là où l'océan embrasse la terre. Nos corps se sont frôlés comme des vagues embrassant la plage, une danse lente et pleine de désir. Sous la couverture étoilée, la timidité s'est dissoute dans l'étreinte passionnée de la nuit. Alors que je me tenais là, sentant le sable sous mes pieds, le désir d'explorer les confins de cette nuit sombre est devenu irrésistible.💗💗


💗💗C'était une nuit magique, la pleine lune illuminait le jardin où je me trouvais. Les corps dansaient au rythme de la musique, et moi, dans la pénombre, comme une fleur cachée dans l'ombre. Il s'est approché de moi avec un regard intense, m'invitant à me perdre dans le rythme de la nuit. Cauta, j'ai accepté, et au rythme de la mélodie, nos corps se sont entrelacés. Chaque mouvement était une caresse, chaque contact un soupir de satisfaction. Dans la lumière argentée, la timidité s'estompait et le désir grandissait comme des ombres dans la nuit. Lorsque la danse fut terminée, je restai là, au clair de lune, souhaitant que la nuit ne finisse jamais.💗💗



💋🔥💋Tu es la chaleur d’une aube dorée, la communication d’un verset inspiré. Votre attention est le cadeau le plus précieux. En toi, femme, je trouve un monde paisible. À chaque geste et à chaque regard que tu me donnes, ton essence dans mon cœur est liée. Tu es la muse qui inspire mes paroles, Femme, en toi je trouve de si rares richesses. 💋🔥💋

Dans l’été 🌞 ardent et vibrant, une femme brille, rayonnante et aimante 🌺. Sa peau, dorée comme du sable ☀️ chaud, reflète la chaleur du soleil, éblouissante. Comme l’océan qui embrasse le rivage 🌊, ses yeux sont bleus, comme une merveille 💙. Sous le ciel bleu, sa beauté se détache 🌈, une déesse de l’été, sans faute. 🌟 En hiver, dans son étreinte ❄️ froide et sereine, elle est un éclair de lumière au milieu de l’hiver 🌬️. Ses cheveux noirs comme la nuit 🌌 profonde, Ils contiennent des secrets que le vent ne répand pas. 🌪️ ses yeux, comme des étoiles dans la nuit ✨ noire, guident ceux qui trouvent son âme pure d’elle 👁️. Dans le calme de l’hiver, dans sa solitude 🌓, elle est un mystère qui ne disparaîtra jamais.

En automne, comme des feuilles d’or, elle s’habille, avec des 🍂 couleurs chaudes, comme le coucher de soleil qui existe 🌇. Son sourire est comme un câlin 🌞 chaleureux, au milieu de la brise fraîche d’automne. 🍁 ses cheveux, une rivière de reflets 🌆 ambrés, Sous la lumière dorée du soleil, c’est un miroir 🌟. Dans la saison de la moisson et de l’amour 🍇, Elle est la beauté de l’automne, avec



💖 Elle est comme l’aube dans la forêt magique, son sourire réveille la nature avec charme . Ses cheveux, un arc-en-ciel dans le matin serein, illuminent la terre de sa lumière, avec un bon chagrin. ses yeux, comme des lucioles dans la nuit , nous guidant à travers la forêt sombre dans le désert . Au milieu du bruissement des arbres et de la rivière , elle est la beauté de l’aube, un défi. 💖

💖 Au printemps, elle est comme une renaissance, renaissante avec des fleurs, avec un souffle tendre. Ses yeux sont comme des gouttes de rosée à l’aube, brillants et frais comme le nouveau matin. Son rire, comme le chant des oiseaux dans le ciel , remplit le monde de vie, de couleurs et de nostalgie . Dans le renouveau de la nature en fleurs , Elle est l’essence du printemps, avec amour. 💖

💖 Dans l'obscurité de sa chambre solitaire, il ferma les yeux et laissa son imagination s'envoler dans un monde où une belle femme occupait le centre de son attention. Il pouvait sentir son parfum, un doux arôme qui remplissait l'air comme un murmure tentant, l'invitant à se rapprocher. Il a imaginé la douceur de sa peau, comme de la soie qui glisse entre les doigts, promettant un toucher exquis et addictif 💖

💖 Dans son esprit, elle était l'incarnation même de l'érotisme, chaque courbe de son corps traçant des lignes de désir qui éveillaient en lui une ferveur insatiable. Chaque détail, chaque sensation imaginée alimentait la passion qui brûlait en Jorge, qui aspirait ardemment au jour où ses rêves deviendraient réalité et où il pourrait se perdre dans les charmes de la femme qui habitait ses fantasmes les plus intimes 💖


💖L'odeur d'une femme est un poème écrit en notes subtiles et captivantes, une symphonie d'arômes qui séduit les sens et éveille les désirs les plus profonds. C'est le parfum frais de la pluie dans ses cheveux, un murmure de jasmin qui parfume sa peau de la douceur du printemps. Chaque geste, chaque mouvement exhale un parfum unique qui enveloppe l'air qui l'entoure, laissant dans son sillage un sillage de tentation et de mystère 💖



💖 Dans son essence, les nuances de passion et de féminité s'entremêlent, créant un parfum irrésistible qui enivre l'âme et allume la flamme du désir. C'est l'arôme de la vie elle-même, une mélodie éthérée qui murmure des secrets au cœur et fait arrêter le monde un instant, livré à la beauté et à la puissance du parfum d'une femme 💖


💖 Dans le calme de ce coin secret, où seuls vous et moi existons, le temps s'arrête et le monde disparaît autour de nous 💖



💖 Ici, entre le bruissement des feuilles et la douce mélodie du vent, nos cœurs battent à l'unisson, créant un univers intime rien que pour nous. Sous la couverture d'étoiles qui ornent le ciel nocturne, nous nous perdons dans des regards profonds qui parlent d'un amour éternel et sincère, où chaque instant est un trésor que nous chérissons avec passion et dévotion. Dans ce lieu unique, notre amour s'épanouit comme un jardin secret, emplissant l'air de la promesse d'un avenir plein de complicité et de bonheur partagé 💖



Je veux toucher. Les mains, si affamées, Ils me l’exigent à haute voix ; des outils puissants mais inutiles, Ils postulent pour du travail. Reconnaîs-tu les lignes énigmatiques sur chaque paume ? Il n'y a pas d'énigmes là-bas, seulement des clameurs éclatant dans le sous-sol de l'âme pour votre sensualité, pour vos amours. Sur la nudité brûlante tu glisses faire vibrer le tulle de la sensualité ; couvert d'air, en liberté, tel que doté d'ailes légères. Mamelons rigides, comme des balles sur le point de tirer; volonté créateur de complicité cela vous donne plus, plus vous en donnez. Attitude réceptive et réceptive, qui dans chaque cavité sirote et dévore, et ce qui est inflexible dans la douceur se serre. Parenthèse de cuisses entrouvertes, enfermant fermement mes greffons, comment ta voix gémit entre les sourires.

J'avance lentement, alternativement, le long de la double avenue de tes cuisses ouvertes. Imminent mon arrivée est annoncée. m'invite votre propre invitation, et secoué, combien de temps te semble-t-il le bref moment d'attente. Votre itinéraire est mouillé, mon rythme s'accélère, Toi, mon berceau, moi, ta plante grimpante. Je viendrai vers toi dans une marée irrépressible de vagues successives et insistantes, habiller la nudité de ta douce peau dans une étreinte écumante sur le sable seul. Peut-être que ça vient comme une impulsion violente danser en spirales du vent de l'ouragan afin de déflorer vos rosiers. Ou sera-ce sous la poussée du torrent, enveloppé en moi et secoué en moi, traînant ton corps dans mon courant, sans résistance et sans retrait.


Déshabille-toi dans la lumière, si lentement, Que mon désir essaie de vous stimuler, et en découvrant à moitié chaque partie Il faut arrêter cet élan d'impatience. Chaque pli est un diable irrévérencieux qui découvre et cache, sans te montrer dans ta splendeur totale, et je dois t'apprécier dans un processus lent et intermittent. Mes yeux doivent se transformer en main combien contraint par la ferveur païenne Il va arracher votre chemisier d'un seul coup. Et en réciprocité nous nous nouerons nos membres, et nous tomberons des ébats dans la convulsion.

Quand ils t'embrassent, on dirait qu'ils tremblent mille petits doigts sur le ventre ; mille murmures érotiques qui invitent pour que j'entre dans ta sombre intimité ; mille tremblements de cuisses qui me crient dessus, exigeant que je me lève et que je me décentre. Et tu m'embrasses en répétant le cri, mon corps déjà à ton corps circonscrit. J'ai avancé entre les cuisses diagonales, colonnes lubrifiantes d'hôpital, où les routes secondaires abyssales Ils croisent parfois des chemins principaux. Je me suis arrêté pour boire aux sources d'eaux convulsives, dans les diverses, bandes intimes, zones solitaires, sensible à l’audace sensorielle. Je suis arrivé et j'ai adoré ; je n'ai pas été diminué par esprit anémique ou modestie feinte ; tout était proposé, tout était accepté dans une nudité absolue, déserté des ombres des autres, comme quelqu'un qui se réveille de manière inattendue à nos côtés.


J'avance lentement, alternativement, le long de la double avenue de tes cuisses ouvertes. Imminent mon arrivée est annoncée. m'invite votre propre invitation, et secoué, combien de temps te semble-t-il le bref moment d'attente. Votre itinéraire est mouillé, mon rythme s'accélère, Toi, mon berceau, moi, ta plante grimpante. Tête entre les deux cuisses, convergence de deux rivières en une seule source ; La bouche a soif, et dans l'esprit les concepts oublient leur éloquence. Qui est arrivé ici sans résistance sur un chemin d'action irrévérencieuse, il ne s'abandonne pas non plus à la modestie, ni ne se repent, déplaçant l’ardeur vers l’innocence. Toujours en voracité, et avec audace de ceux qui invitent, acceptent et ne sont pas satisfaits à chaque nouvelle demande, nouvelle offre. Source enfouie, éclatante moussant sur les lèvres, évoquant rose endormie qui se réveille fébrilement.

Je n'aime les mots que quand tu me les dis ; Je pense que tu les aimes quand je les dis. Le reste est creux, ce ne sont que des vernis, écorce de fruit qui n'a jamais mûri. Le mien et le tien ont la texture des fruits assaisonnés que l'on peut croquer ; leur jus coule de chaque larme comment l'homme déverse sa sève dans la femme. Si tu n'arrives pas à dormir, viens avec moi, qu'une femme la nuit et sans sommeil crie pour être aimé, et je me force à l'aimer sans limites. Les mots que tu dis, ceux que je dis, Ils sont sans intérêt, sans valeur ; les sommets de tes seins, ton regard, Votre peau nue est ce que je recherche. Si tes mots restent secs, dans l'humidité je t'aime, quand tu ouvres et tes cuisses serrent mes hanches. Vous serez inspiré, même sans me parler, Forger un tel poème en débordant que comme Orphée, tu dompteras les bêtes sauvages.


C'est l'occasion propice, les stores de minuit, heure qui affaiblit les esprits et les volontés, Quand l’instinct avance et que la pudeur recule, moment d'ambiguïtés imprécises et vagues. Quand le sens explore des zones ignorées en toi, éclater en frondes, spéléologie lente, et des zones tendues oubliées en moi sont révélées, tous deux fusionnèrent jusqu'à l'aube du jour. Mon corps est un jeu d'échecs illimité : Défensif dans ses tours, avec déploiement de vaillants cavaliers sur le terrain, et des évêques obliques ; et un hôte de vulgaires ouvriers, des combattants médiocres ; une splendide reine, toujours provocateur, bouger à volonté, et enfin un roi, plus qu'efficace, solennel. Tout le monde vous invite à diriger la terre, déplacer les pièces, toujours avec prudence, démontrez vos instincts agressifs, et anticiper l'action de l'adversaire. Je ne t'offre pas une peau au carré, ni rigide non plus, mais ça éclaire avec l'effet dévastateur et massif, des prairies de l'ouest de l'Inde. Si vous devez bien réfléchir à votre déménagement, Que la passion dépasse ce que vous pensez. Peut-être que vous ne voyez pas les pièces. Inutile. Bougez vos doigts comme si vous les voyiez. Les pions d'abord, pas à pas, lentement, très lentement, du cou à la poitrine, sans ignorer l'aisselle, et la reine s'avance sur le ventre. Faire des chevaux en escargot sur les deux cuisses et laissez-les se nourrir dans l'ejido triangulaire. Les tours rester à l'arrière-garde. Qui a besoin les défenses ce soir ? J'ai abandonné mes forces ; les lauriers Ils sont pour les gagnants et les perdants ; Dans un combat chevaleresque, personne ne perd. Que les touches décidées avancent alors, et donne-moi un échec et mat fort.

Je suis surprise, femme, par ta timidité, rose qui pâlit au loin ; rose qui tremble entre mes doigts ; Surprenez-moi, femme, avec votre nudité. Adosa dans une langueur absolue ta peau contre ma peau, qui s'offre à toi ; ma masculinité, qui grandit pour toi, frappe à vos portes encore et encore. Entoure-moi de tous tes membres, ouvrez vos cavités sans crainte, et dans une étreinte totale, je te serrerai contre moi. Nous serons tous les deux un seul morceau du tremblement du sexe à la tête ; Tu seras en moi, je resterai en toi.


Tu m'admets dans ton coin le plus intime, et le membre que vous laissez enchaîné; de cette façon tu contractes les anneaux que vous autorisez à peine le mouvement. Je dois crier en même temps que tu cries au rythme des coups de marteaux ; dans mes yeux identiques l'éclat que vous émettez du cristal de votre regard. Et alors que les derniers gémissements expirent, avant de dormir, Continue de me serrer dans tes bras, encore et encore. Plongez-vous dans le calme, battez avec moi, couvre-nous du manteau sensuel et chaud, de notre éblouissante nudité.

Levez vos paupières, femme, et voyez ; regarde droit devant toi, l’âme ouverte ; Il a dormi si longtemps dans la solitude..., réveille-toi !, Dors le silence maintenant, je joue de la lyre. Distiques flottants, il se retire tristesse dans sa grotte, elle est déserte de peurs dans la maison et à la porte l'air du printemps est respiré. Ta main tremble au contact de ma main, et sur les touches de cuir de ton piano mes doigts créeront une nouvelle harmonie. Ouvrez-moi, élèves liés, lèvres, seins, genoux écartés, irréversiblement ma femme.


Tu es à mes côtés depuis tant de siècles, et aujourd'hui encore, je viens de te trouver... Je ne sais pas si je t'appellerais ma bien-aimée, ou simplement amoureux. Le bien-aimé est un destinataire, tout comme les arbres en accueillant la brise répétée, doux explorateur, vagabond. L'amant c'est la ferveur, l'initiative, l'instinct qui sait bondir, la marée qui insiste, et lèche, et embrasse, et quand il arrive, il s'effondre. Sois mon amant, tu seras mon amour, superbe équipement de pistons et cylindres, flexible, rigide ou malléable. Tu es à mes côtés depuis tant de siècles, et aujourd'hui encore, je viens de te trouver... J'ai vu des pleines lunes la nuit, soleils mourants l'après-midi, mais pas si rond comme les disques de ta propre chair, dessiné au compas, avec le relief de leurs centres rosâtres à l'air. Tu es à mes côtés depuis tant de siècles, et je viens de te trouver aujourd'hui. Ah ton avance frontale sur mes yeux… Je ne pouvais pas voir le tien, deux étangs avec une surface propre et sereine, à l'ombre déserte des saules. Perdu dans vos cercles, Ils ont oublié le reste du paysage. Femme de pleine lune sortant du passé, tu m'envahis ; tu es à mes côtés depuis tant de siècles, et aujourd'hui tu renaît enfin avec moi.

Mes meilleurs poèmes sont manuscrits, pour deux palmes flamboyantes, dix plumes éloquentes, sur le drap pâle d'un organisme humain qui répond à mes vers intimes et suggestifs.


C'était une matinée propre..., littéraire. Son visage était l'exigence d'un sonnet, et je l'ai lié, longuement, charnel, quatorze baisers du front au cou. Je les ai improvisés, sans m'arrêter recevoir des encouragements inspirants des muses Son codex tremblait à chaque éclat de vers inédits. Il voulait plus de poésie, et j'ai imprimé une octave sur chaque sein, rimes alternées complétant des cercles autour des pédoncules dressés. Et j'ai dû répéter les trajectoires concentrique et doux verset par verset. Il voulait une simple brièveté d'un couplet sur le ventre, voyant montant l'alouette du lyrisme, et en cours le serpent du désir. Et je l'ai écrit d'une main tremblante, et avec des lèvres de pétales. Et il m'a supplié pour un poème sans fin, comme les épopées qu'ils ont écrites les rhapsodes d'hier, pour tes cuisses s'ouvre soudainement. Et je l'ai commencé en chronologie inversée, allongeant l'histoire, à un rythme lent. J'ai traversé des siècles et des paysages, chacun plus lointain, plus splendide, des rivières de lumière aux grottes, de la haute lande à la gorge. Je suis enfin arrivé, fiévreux et en sueur, millénaire après millénaire, au seuil palpitant de la vie, au berceau du temps, Quand un arbre interdisait ses pommes, et une femme a violé le commandement. Développant toujours mon poème, toujours avec des traits de vers. J'ai perçu ses premières pulsations et exploré ses mystères. J'ai continué à avancer dans son monde sombre, et j'ai pu voir l'univers se former dans une explosion cosmique. toujours dans mon oreille Je porte sa résonance et sa mémoire... C'était un matin où je voyais le monde il y a tant de millénaires.

Un arrêt en chemin et une offre pour le voyageur inconnu ; tel je suis, révélé dans mon âme et dans mon corps, comme une fleur sans pot ni jardinier ; Si tu passes, tu me verras libre, réveille-toi ; mais vous, ce sera un autre ; En attendant, j'espère la main agitée, la parole douce, et l'âme naïve, et en même temps perverse


Il m'a invité dans son lit. je disais avec la sécurité de celui qui libère intentions interdites, et allège son paquet de tabous. j'ai bu les yeux en parlant, leur anatomie un toast fervent à moi, en attendant de ma réponse, comme si je craignais l'évasion ou le rejet. Il commençait à faire nuit. La pièce mal éclairée ; le citronnier jetant un coup d'œil par la fenêtre et un boléro chantant sur la console, insinuant. Je n'ai rien dit. J'ai entouré sa taille, en le rapprochant, et avec autant de détails Il a déchiffré mon objectif d'amant.