Me gusta ser una mujer independiente y tener mis propias cosas. Me gusta soñar y ser una mujer muy amable, Estar rodeado de gente maravillosa. Conoce nuevos lugares y personas, Soy muy ambicioso para conseguir todo lo que quiero. Me encanta reír y tratar a las personas como me tratan a mí, No entres en la habitación y no exijas, Si quieres ver algo o chatear conmigo - únete pvt / c2c. Estamos en un mundo virtual, así que por favor no me preguntes sobre una reunión real. y solo estoy disponible aquí. y solo acepto propinas, Respétame a mí y a las personas en mi habitación
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CLOE MULLER!
Quand je te vois passer, ô ma chère indolente, Au chant des instruments qui se brise au plafond Suspendant ton allure harmonieuse et lente, Et promenant l’ennui de ton regard profond; Quand je contemple, aux feux du gaz qui le colore, Ton front pâle, embelli par un morbide attrait, Où les torches du soir allument une aurore, Et tes yeux attirants comme ceux d’un portrait, Je me dis : Qu’elle est belle ! et bizarrement fraîche ! Le souvenir massif, royale et lourde tour, La couronne, et son cœur, meurtri comme une pêche, Est mûr, comme son corps, pour le savant amour. Es-tu le fruit d’automne aux saveurs souveraines ? Es-tu vase funèbre attendant quelques pleurs, Parfum qui fait rêver aux oasis lointaines, Oreiller caressant, ou corbeille de fleurs ? Je sais qu’il est des yeux, des plus mélancoliques, Qui ne recèlent point de secrets précieux ; Beaux écrins sans joyaux, médaillons sans reliques, Plus vides, plus profonds que vous-mêmes, ô Cieux ! Mais ne suffit-il pas que tu sois l’apparence, Pour réjouir un cœur qui fuit la vérité ? Qu’importe ta bêtise ou ton indifférence? Masque ou décor, salut ! J’adore ta beauté.
Cuando te veo cruzar, oh mi amada indolente Paseando el hastío de tu mirar profundo, Suspendiendo tu paso tan armonioso y lento Mientras suena la música que se pierde en los tejados. Cuando veo, en el reflejo de la luz que la acaricia, tu frente coronada de un mórbido atractivo; donde las luces últimas del sol traen a la aurora, y, como los de un cuadro, tus fascinantes ojos. Me digo: ¡qué bella es! ¡qué lozanía extraña! El ornado recuerdo, pesada y regia torre, la corona, y su corazón, prensado como fruta, y su cuerpo, están prestos para el más sabio amor. ¿Serás fruto que en otoño da maduros sabores? ¿Vaso fúnebre que aguarda ser colmado por las lágrimas? ¿Perfume que hace soñar en aromas desconocidos, Almohadón acariciante o canasto de flores? Sé que hay ojos arrasados por la cruel melancolía Que no guardan escondido ningún precioso secreto, Bellos arcones sin joyas, medallones sin reliquias; más vacíos y más lejanos, ¡oh cielos!, que esos dos ojos tuyos. Pero ¿no basta que seas la más sutil apariencia, alegrando al corazón que huye de la verdad? ¿Qué más da tontería en ti, o peor aún, la indiferencia? Te saludo adorno o máscara. Sólo adoro tu belleza.
Te lo dije por las nubes Te lo dije por el árbol del mar Por cada ola por los pájaros en las hojas Por las piedras del ruido Por las manos familiares Por el ojo que deviene rostro o paisaje Y el sueño que pone el cielo de su color Por toda la noche bebida Por la reja de las rutas Por la ventana abierta por una frente descubierta Te lo dije por tus pensamientos por tus palabras Toda caricia toda confianza se sobreviven.
Te lo dije por las nubes Te lo dije por el árbol del mar Por cada ola por los pájaros en las hojas Por las piedras del ruido Por las manos familiares Por el ojo que deviene rostro o paisaje Y el sueño que pone el cielo de su color Por toda la noche bebida Por la reja de las rutas Por la ventana abierta por una frente descubierta Te lo dije por tus pensamientos por tus palabras Toda caricia toda confianza se sobreviven.
JE TE L´AI DIT POUR LES NUAGES… Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la mer Pour chaque vague pour les oiseaux dans les feuilles Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières Pour l’œil qui devient visage ou paysage Et le sommeil lui rend le ciel de sa couleur Pour toute la nuit bue Pour la grille des routes Pour la fenêtre ouverte pour un front découvert Je te l’ai dit pour tes pensées pour tes paroles Toute caresse toute confiance se survivent
ET MOI MAINTENANT TOUT ENTIER DANS LA CASCADE CÉLESTE… Et moi maintenant tout entier dans la cascade céleste, enveloppé dans la chevelure de l’air, ici, l’égal des feuilles les plus lumineuses, suspendu à peine moins haut que la buse, regardant, écoutant —et les papillons sont autant de flammes perdues, les montagnes autant de fumées—, un instant, d’embrasser le cercle entier du ciel autour de moi, j’ y crois la mort comprise. Je ne vois presque plus rien que la lumière, les cris d’oiseaux lointains en sont les nœuds, la montagne? Légère cendre au pied du jour.
IL SUFFIT D´UN MOT Nomme si tu peux ton ombre, ta peur et montre-lui le tour de sa tête, le tour de ton monde et si tu peux prononce-le, le mot des catastrophes, si tu oses rompre ce silence tissé de rires muets, — si tu oses sans complices casser la boule, déchirer la trame, tout seul, tout seul, et plante là tes yeux et viens aveugle vers la nuit, viens vers ta mort qui ne te voit pas, seul si tu oses rompre la nuit pavée de prunelles mortes, sans complices si tu oses seul venir nu vers la mère des morts – dans le cœur de son cœur ta prunelle repose – écoute-la t’appeler: mon enfant, écoute-la t’appeler par ton nom.
Essayez de me comprendre : je t'aime pendant que je fais attention aux choses qui arrivent. A Toulouse je t'ai juste aimé. Ce soir, je t'aime par un après-midi de printemps. Je t'aime avec la fenêtre ouverte. Tu es à moi et les choses sont à moi et mon amour change les choses autour de moi et les choses autour de moi changent mon amour
Je ne pense pas que deux personnes étaient plus heureuses jusqu'à ce que cette terrible maladie arrive. Je ne peux plus me battre. Je sais que je gâche ta vie, que sans moi tu pourrais travailler. Et vous le ferez, je le sais. Vous voyez, je ne peux même pas écrire ceci correctement. Je n'arrive pas à lire. Ce que je veux vous dire, c'est que je vous dois tout le bonheur de ma vie. Vous avez été totalement patient avec moi et incroyablement gentil. Je veux te dire que si quelqu'un pouvait me sauver, ça aurait été toi. Il ne me reste rien que la certitude de ta bonté. Je ne peux pas continuer à détruire ta vie plus longtemps. Je ne pense pas que deux personnes auraient pu être plus heureuses que nous.
Je te couvrirai d'amour la prochaine fois que nous nous rencontrerons, de caresses, d'extase. Je veux te mordre avec toutes les joies de la chair, jusqu'à ce que tu défailles et meurs. Je veux te laisser pantois, que tu avoues que tu n'avais jamais rêvé de telles transes... Quand tu seras vieux, je veux que tu te souviennes de ces quelques heures, je veux que tes os desséchés tremblent de joie quand tu y penses.
Si la jouissance d'hier soir a produit sur votre santé le même effet que sur mon visage, alors vous n'avez aucune raison de vous lamenter de votre indécision ; J'ai rarement vu autant de feu dévorer mes traits que lorsque ce matin, en me coiffant, des souvenirs — des souvenirs très agréables — m'ont fait rougir de plaisir.
je joue ma vie !
Eh bien sans valeur!
je l'ai perdue sans remède!
Erik Fjordson.
Je joue ma vie, je change ma vie, de toute façon Je l'ai perdu...
Et je le joue ou le change pour le mirage le plus enfantin, Je le donne en usufruit, ou je le donne...
Je le joue contre un ou contre tous, le jeu contre zéro ou contre l'infini, J'y joue dans une chambre, à l'agora, dans un tripot, à un carrefour, à une barricade, à une émeute ;
J'y joue définitivement, du début à la fin, large et profond en périphérie, au milieu, et dans le sous-sol...
Lion greiff Lire le poème complet ici habitation sud Dans les nuits mélangées qui montaient de l'herbe, Jeunes chevaux, ombres courbes, luisantes, Ils ont secoué la terre avec leur casque de bronze.
Des étoiles noires souriaient dans l'ombre avec des dents d'or. Puis, d'entre de grandes feuilles, le monde est lentement sorti. La vaste terre toujours couverte de peaux de soleils.
(Les rois avaient brûlé, les reines blanches, douces, enterré à l'intérieur des arbres qui gémissaient encore dans le fourré).
Il regarda le paysage, ses yeux verts, candides.
Une seule vache, pleine de belles taches, vautré dans la nuit éclairée par la lune, quand la lune s'incline,
C'est comme si l'oiseau touchait la branche,
"petite flamme",
"pomme de miel".

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